- L'obscurit� en attendant l'am�lioration de l'�clairage publique : Des mesures ont �t� prises r�cemment pour proc�der � l'am�lioration de l'�clairage public. Mais en attendant, les citoyens de la ville de Mascara ont �t� surpris ces jours-ci par l'obscurit� dans laquelle ont �t� plong�s certains de leurs quartiers. De nuit comme de jour, ils ont circul� dans la p�nombre et m�me le centre-ville n'a pas �chapp� � cette situation. - Le d�veloppement par les chiffres : Dans le cadre du d�veloppement de la cit� de l'Emir-Abdelkader, une enveloppe financi�re assez cons�quente a �t� d�gag�e et ceci pour l'ensemble des secteurs sur la p�riode 1999-2004. A la lecture des chiffres annonc�s, il est �tabli que le secteur de l'habitat se taille la part du lion avec approximativement l'�quivalent de 400 milliards de centimes constituant la r�alisation de 4239 logements dont 2998 ont �t� r�ceptionn�s, 933 sont en cours de r�alisation et 318 non encore lanc�s. Ce secteur qui a constitu� une pr�occupation majeure compte tenu des insuffisances en alimentation AEP ou apparitions fr�quentes de MTH, notamment dans le quartier Boulilef (ex-la Gare) est donc celui de l'hydraulique ; 100 milliards de centimes lui ont �t� destin�s pour des projets r�alis�s ou actuellement en cours, ceux-ci concernent notamment la r�novation des r�seaux AEP ou adduction � partir du forage de "El Koutr" pour deux bassins de 2x500, l'adduction en AEP � partir du barrage de Bou-Hanifia et la r�habilitation de la station d'�puration de Mascara une tare de la ville qui a d�j� englouti environ 13 milliards de centimes. Il convient de signaler que les 260 points noirs recens�s dans ce secteur ont �t� r�duits � 36 permettant ainsi de r�cup�rer 40% des pertes en eau, l'enseignement sup�rieur dispose actuellement d'infrastructures assez cons�quentes au niveau du centre universitaire Mustapha-Stambouli, et pour ceci, 130 milliards de centimes lui ont �t� allou�s dont 60% ont d�j� �t� consomm�s avec au menu la r�alisation de deux cit�s universitaires et trois instituts de 1000 places portant ainsi le nombre de p�les universitaires � trois dont Sidi-Sa�d et Khessibia sont les nouveaux, et ceci, pour une population estudiantine �valu�e � 12000 universitaires. C�t� �ducation, la ville sera dot�e d'un nouveau CEM et d'un groupe scolaire alors que la r�fection de certaines �coles est d�j� engag�e, le tout pour une bagatelle de 12 milliards 600 millions de centimes. Une nouvelle infrastructure viendra enrichir le secteur de la jeunesse et des sports, c'est la piscine semi-olympique d�j� achev�e et o� l'on proc�de � des essais actuellement. Egalement lanc�e, la r�habilitation du complexe de l'OPOW. La r�habilitation du stade Meflah-Aoued elle a �t� cl�tur�e et un complexe sportif en cours de r�alisation. Autre urgence, l'am�lioration urbaine et pour ceci, 31 milliards de centimes ont �t� affect�s � l'urbanisme pour les �tudes et travaux de r�novation actuellement en cours. Ce sont l� les grands axes de d�veloppement cibl�s durant ces cinq derni�res ann�es et les autres secteurs ont �galement �t� concern�s � l'instar de ceux �num�r�s pr�c�demment. Il s'agit de l'environnement, l'environnement, du CFPA avec une r�habilitation de l'INFSP, la culture, la sant� qui sera dot�e d'un centre d'h�modyalise ou la s�ret� urbaine dont le nouveau si�ge est en cours de r�alisation. - R�habilitation des espaces verts : Ceci semble �tre l'une des pr�occupations des autorit�s locales. Pour faire face � la d�gradation des espaces verts, des dispositions ont �t� prises pour leur r�habilitation, notamment dans les grandes cit�s comme celles des 624 ou 936-Logements. M�me les art�res principales sont concern�es et les premiers travaux sont engag�s notamment sur le circuit centre-ville-route de Bou- Hanifia. Lors d'une r�cente s�ance de travail, le secr�taire g�n�ral de la wilaya s'est montr� intransigeant sur le respect des d�lais en s'adressant au service des for�ts rappelant au passage les engagements du conservateur. Mais dans tout cela, le citoyen devra s'impliquer car c�t� civisme et pr�servation de l'environnement, il faudra repasser. Le spectacle qui s'offre dans le petit jardin public situ� sur la place Emir- Abdelkader est parfois lamentable, car l'on y jette toutes sortes d'ordures ou emballages vides. En ce qui concerne le jardin Pasteur, ceci est une autre histoire. M. Meddeber