Alors que la première sortie des Verts de son camp de base a été de courte durée (48 heures), la sélection ayant effectué un séjour-éclair à Belo Horizonte, lieu de son match face aux Belges à l'issue duquel les coéquipiers de Feghouli ont regagné le World Sports Center de Sorocaba, cette fois, l'équipe de Halilhodzic a passé deux nuitées à l'hôtel Deville (près de l'aéroport Salgado Filho). C'est ce matin (9h, 13h à Alger) que les Verts rallieront par avion spécial l'aéroport de Campinas. Décrassage en fin d'après-midi Le vol Porto Alegre-Campinas devant durer un peu plus de deux heures, il est probable que Halilhodzic programme un décrassage aujourd'hui en fin d'après-midi. Seulement, cette séance ne sera pas précédée d'une zone mixte. La plupart des journalistes algériens devront retourner à Sorocaba dans les villes d'après-midi, alors que d'autres se déplaceront directement vers Curitiba, ville qui accueillera jeudi prochain le troisième et dernier match de ce premier tour (groupe H) entre l'Algérie et la Russie. Départ demain après-midi à Curitiba Le match contre la Russie devant avoir lieu jeudi, la délégation algérienne quittera Sorocaba ce mardi après-midi (14h) à bord d'un avion spécial à partir de l'aérodrome de Campinas. L'arrivée à Curitiba se fera après une heure de vol. La matinée, les joueurs devront s'entraîner une dernière fois à Sorocaba. Une séance qui se déroulera à huis clos. Saïfi et Aboutreïka en guest-stars Footballeurs d'un temps, les deux ex-joueurs vedette des Fennecs et des Pharaons, Rafik Saïfi et Mohamed Aboutreïka exercent leur talent, désormais, sur les plateaux de TV. Hier, les deux consultants de Bein Sport ont fait irruption au centre de presse du stade Beira-Rio de Porto Alegre. Une présence qui n'a pas été sans déclencher un «mouvement de foule» parmi les journalistes et photographes algériens, venus qui pour prendre une photo qui se faire signer des autographes par les deux sympathiques stars d'hier et d'aujourd'hui. Coréens et Algériens unis contre les Diables rouges La scène est paradoxale. Alors que les Belges et Russes croisaient le fer au Maracaña (Rio De Janeiro), les journalistes coréens et algériens suivaient le match depuis les écrans du centre de presse du stade Beira-Rio, à Porto Alegre. Une ambiance particulière y régnait. Avec des «oh, ah» partagés par les uns et les autres. Quand notamment les hommes de Capello avaient l'occasion de tromper la défense de Wilmots. Coréens et Algériens, adversaires deux heures plus tard, semblaient unis pour assister à la chute des Diables rouges...