A qui la faute ? Faites le bilan Un choc émotionnel : la chute massive est due à la sécrétion anormale des hormones androgènes qui tuent le cheveu. La variation des sécrétions hormonales masculines : La testostérone (sécrétée par les testicules), la déhydroépiandrostérone et l'androstènédine anormalement actives tuent les cheveux. Une maladie infectieuse : La grippe, les affections à streptocoques, la mononucléose peuvent entraîner des alopécies sans conséquence à long terme. La santé rétablie, les cheveux repoussent. Une intoxication : Ingestion de champignons toxiques, prise accidentelle de médicaments toxiques ou d'associations de médicaments incompatibles, ingestion accidentelle de produits nettoyants Un mauvais traitement capillaire : Décoloration ou permanente mal maîtrisées, effectuées par des personnes incompétentes. Un accouchement : Les femmes perdent leurs cheveux environ deux mois après la fin de leur grossesse. A l'accouchement, l'interruption des flux déclenche souvent une perte des cheveux massive et momentanée. La prise de médicaments : Antimitotiques, la chute est spectaculaire, presque totale, chez les patients qui subissent une chimiothérapie dans le cadre du traitement contre le cancer. Une mauvaise vascularisation : mal irrigué, le cuir chevelu n'alimente plus le cheveu qui finit par mourir. Les carences en acides aminés essentiels : La kératine a un besoin vital d'acides aminés essentiels, en particulier la cystine. Elle raffole aussi d'oligo-éléments sinon elle dépérit.