Par Arris Touffan Je regrette seulement que nos amis chinois, nombreux en Algérie, aient appris nos langues au lieu de nous enseigner la leur. En fait, ils auraient été inspirés de faire les deux. En apprenant nos langues, ils facilitent leur intégration commerciale et sociale dans le chaudron qui nous sert de pays. En contrepartie, s'ils nous dispensaient leur langue, on aurait peut-être davantage compris comment crépite ce chaudron qui nous sert de pays et surtout comment il est dirigé. Car je ne sais pas comment c'est pour vous, mais pour moi, les discours de certains dirigeants du pays et même de certains assis de l'opposition, c'est du chinois. A. T.