Suite à l'article paru dans votre journal le 26/03/2016 relatif à l'hommage rendu au chahid colonel Amirouche dans lequel il est inséré que le président de l'APC d'Iboudrarène est absent et a boycotté la cérémonie. Nous réservons un droit de réponse à de telles insertions que vous voudrez bien publier. Il est un fait indiscutable qu'il ne peut exister en Algérie de commune qui ne soit l'initiatrice ou qui ne prenne pas part aux événements ayant trait à l'histoire, partons de là, quelques questions se posent d'elles-mêmes : 1- Comment entreprendre d'organiser des événements ayant trait à des situations qui nous engagent tous sans tenir informé ou associé pour ce faire l'autorité locale compétente ? A quelles fins ? 2- Est-il juste que l'autorité locale du colonel Amirouche ne soit informée que par un simple affichage ? 3- Peut-on imaginer que la commune n'engagerait pas des moyens exceptionnels si elle avait été à temps associée tout naturellement à l'évènement ? Nous informons l'opinion publique que l'APC, l'ONM et l'ONEC d'Iboudrarène ont programmé il y a plus de 15 jours une cérémonie commémorative du 57e anniversaire des colonels Si L'Houès et Si Amirouche. Concernant le boycott du président de l'APC d'Iboudrarène de cette cérémonie, nous attirons votre attention que le président de l'APC d'Iboudrarène n'a jamais boycotté de tels événements mais il boycotte les manœuvres, les manières, les démarches et les enjeux qui ne servent ni l'honneur ni la mémoire des valeureux martyrs de notre République algérienne démocratique et populaire. Aussi pour conclure, visiter l'Histoire c'est le faire en honnête citoyen par respect justement à nos glorieux martyrs. Enfin, à ceux qui n'ont rien à faire valoir de culture citoyenne dans une Algérie à tous les Algériens, l'Histoire doit cesser d'être un fonds de commerce. Iboudrarène le, 26/03/2016