Par Kader Bakou Sans tambour ni trompette, DimaJazz, le Festival international de jazz de Constantine, s'est éclipsé en 2017. Dima- Jazz est tombé par terre et ce n'est pas la faute à Voltaire, le nez dans le Rhummel, ce joli ruisseau, et ce n'est pas la faute à Rousseau. DimaJazz est parti, c'est certainement la faute à l'austérité. Le DimaJazz est né d'une initiative indépendante de Aziz Djemmame et de l'association Limma. On n'aurait pas dû le «nationaliser » et le rendre ainsi vulnérable à cette fameuse austérité. Voyez le bon exemple et le succès populaire du Festival des Raconte-Arts, à Tizi- Ouzou. Cette initiative privée tient la route par les chemins qui montent et ce n'est pas des racontars !