Il est �tabli que les op�rations pr�c�dentes men�es pour lutter contre ces pratiques ont donn� des r�sultats probants. En certains lieux, l�on voit plus clair comme par exemple dans la rue Docteur-Khaled o� les trottoirs ont �t� restitu�s aux pi�tons. Ce n�est que par un travail soutenu qu�on arrive � �radiquer ce ph�nom�ne qui perdure depuis de longues ann�es. L�on s�est souvent interrog� : en vertu de quoi des marchands s�approprient des espaces publics et s�arrogent le droit de confisquer des trottoirs ? En vertu de quoi des cafetiers installent des tables et sous vos fen�tres avec des clients y observant des sit-in quotidiennement. Cela frise l�ind�cence. Tout cela a �t� combattu par le pass�, mais de mani�re �pisodique, nous avons vu des policiers accompagn�s d�agents administratifs les mettre en demeure de d�barrasser les lieux, mais quelques jours apr�s c�est rebelote en l�absence de la d�termination des pouvoirs publics. R�cemment, les habitants de la rue Meskiane-Boudjellil, se sont plaints aux autorit�s face � l�encombrement et � la pagaille qui r�gnent devant leur domicile. C�t� administration, la fermet� semble �tre de mise encore une fois et des mises en demeure ont �t� adress�es aux r�calcitrants de vider les lieux sous peine de fermeture. La m�me proc�dure a �t� effectu�e et elle concerne les commer�ants de �trig el kbira�. Il faut signaler que celle-ci a retrouv� son v�ritable aspect puisqu�elle a �t� d�barrass�e du march� informel. Nous apprenons que ce sont plus de 70 mises en demeure qui ont �t� ainsi remises aux concern�s. Le seul souhait que l�on puisse �mettre c�est celui de voir l�autorit� de l�Etat r�tablie face � des individus qui se croient tout permis laxisme oblige.