La d�t�rioration de l��tat des routes � Dra� El-Mizan avance inexorablement, le sujet occupe, d�sormais, la sc�ne publique et accompagne le quotidien des habitants malgr� eux. La cit� Belaouche-Mohamed est d�laiss�e et livr�e � elle-m�me. Pas le moindre travail d�entretien n�est assur�. Pas de cl�ture ni d�espace vert, pas d�aire de jeux pour les enfants. La nuit tomb�e, des hordes de chiens viennent se disputer les restes d�ordures dans les poubelles. L��clairage public fait d�faut. La route qui m�ne au village Hjar Boulehia en passant par le CEM Fr�res-Harchaoui n�a de route que le nom. Depuis des ann�es, elle est en mauvaise �tat. Les travaux d�assainissement, d�AEP et autres, n�en finissent pas. Dans le m�me registre, le lotissement nord, situ� � 500 m�tres du chef-lieu communal, n�en finit point avec ses calvaires, notamment celui de l�impraticabilit� des pistes d�limitant les habitations, devenues un v�ritable champ de bataille. Les habitants sont contraints de se munir de bottes pour emprunter ces pistes. Cette situation est due aux travaux b�cl�s, entam�s lors de la r�alisation du projet d�assainissement. L�absence des avaloirs ou canaux d��vacuation des eaux pluviales n�a fait qu�empirer la situation. Les r�sidants lancent un ultime appel de d�tresse aux services des ponts et chauss�s, de l�APC et de la da�ra pour rem�dier enfin � cette d�g�n�rescence de l��tat de leurs cit�s. En attendant, les habitants broient du noir.