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SKIKDA
Campagne de lutte contre les moustiques
Publié dans Le Soir d'Algérie le 27 - 02 - 2006

L�op�ration anti-larvaire a �t� d�clench�e le 15 f�vrier par le service des affaires sociales de l�APC de Skikda relevant de la vice-pr�sidence des affaires culturelles, sociales et sportives. Elle s��talera jusqu�en avril et ciblera les diff�rentes cit�s de la ville, particuli�rement les plus infect�es Merdj-Eddib et Boulekeroua, qui seront choisies comme quartierspilotes.
Une p�riode qui sera �galement n�cessaire pour tester de l�efficacit� du VectoBac, un insecticide biologique pour lutter contre les larves de moustiques, acquis aupr�s de Afrotec, un fournisseur install� � Annaba. L�op�ration fait suite � la tenue d�une journ�e d��tude portant sur la lutte contre les moustiques, organis�e par la vice-pr�sidence pr�cit�e, et ayant regroup� l�Epedemia, l�OPGI, les services de la maintenance de l�APC, l�Econeg, quelques pr�sidents des comit�s de quartier, soit tous les acteurs ayant un lien tr�s �troit avec la gestion de la cit�. Il y a lieu de souligner la pr�sence des experts en environnement (Ghighissi Akila) et des repr�sentants de Afrotec (fournisseur de VectoBac) et de n�o clean (fournisseur de Desodex), qui ont ax� essentiellement leurs interventions sur la d�finition du moustique, un insecte qui tue selon les chiffres fournis par Guinness pr�s de 2 millions de personnes par an. L�in�luctabilit� de recourir aux deux luttes les plus en vogue actuellement, m�canique et biologique, et l�importance de donner la priorit� � la deuxi�me, l�utilisation mod�r�e des produits antimoustiques, lancement des programmes de formation et de perfectionnement au profit du personnel employ� dans les services d�assainissement et d�hygi�ne publique. Les experts recommandent de pr�coniser une politique nationale de lutte contre les moustiques � travers le lancement d�actions simultan�es au niveau des diff�rentes r�gions du pays. Un objectif dont le but n�est rien d�autre que de s�attaquer � cette insecte d�une mani�re radicale, puisque le d�placement des moustiques, � partir des contr�es non concern�es, contribuera � envenimer la vie des citoyens. Pour preuve, les �mousticologues� se basent sur le fait que la femelle, celle qui pique (le m�le est inoffensif et ne vit que deux jours), a une dur�e de vie de 2 mois et peut se d�placer jusqu'� une distance de 100 km, d�o� l�imp�rieuse n�cessit� d�opter pour la m�thode de lutte g�n�rale. Dans ce contexte le P/APC de B�ni B�chir a d�plor� le fait que sa commune ne peut mettre en place un dispositif vu les contraintes budg�taires. L�APC et l�OPGI ont du pain sur la planche. Le recours � VectoBac devra faciliter les op�rations de nettoiement projet�es. Le d�ploiement des moyens mat�riels et humains sera n�cessaire pour venir � bout de cette bestiole dans les caves, les r�seaux de collecte des eaux us�es, les regards, les fosses septiques, les foss�s, les canaux d�irrigation, les vide-sanitaires inond�s, les puits, les r�servoirs, les eaux stagnantes, form�es � la suite des fuites des r�seaux d�AEP. Celles se trouvant � Boulkeroua au niveau de la cit� des enseignants est un exemple �difiant. Ces eaux demeurent le facteur qui favorise le plus, l�apparition des larves. C�est le g�te larvaire par excellence, et le VectoBac pourrait ais�ment s�en occuper ! Des tests pratiques l�auraient confirm�. Le recours � ce produit �larvicide biologique hautement s�lectif, qui contribue d�une fa�on significative � la sant� humaine et � la pr�servation de l�environnement�, d�montre si besoin est, que la situation aurait atteint un seuil d�gradant en mati�re d�hygi�ne et de sant� publique que les seules m�thodes archa�ques pr�n�es � nos jours n�ont pu venir � bout. Za�d Zohe�r
Mila fait sa toilette
Les responsables de la wilaya ont, semble-t- il, opt� pour l�axe A (double voie qui m�ne de la placette Abdelhafid-Boussouf � la cit� CNEP, sur pr�s de 2 km) pour en faire le boulevard principal d�une ville, Mila, qui reste une agglom�ration sans �me ni aucune r�f�rence urbanistique. Mila est, apparemment, la seule ville au monde qui vit sans un r�el �c�ur palpitant� autour duquel s�organisent toutes les activit�s et les d�veloppements urbains. C�est que Mila, bizarrement, ne poss�de m�me pas un centre-ville ou une quelconque adresse d�une rue, d�un quartier ou d�une avenue plus ou moins hupp�e qui peut int�resser un visiteur ou un passager. Constitu�e d�une succession de cit�s-dortoirs, souvent anarchiques et illicites, faisant fi des r�gles les plus �l�mentaires de l�urbanisme (Dembri, El Kouf, Bensalah, El-Kherba, Sennaoua, Lebrarek, la Snic, les 500- Logements...) Mila d�gage, aujourd�hui, l�image d�une ville pr�caire sans attrait, lugubre, ennuyeuse et surtout tr�s sale. Dans une tentative, donc, salutaire et courageuse, la nouvelle �quipe de l�ex�cutif de wilaya, et � sa t�te Djamel-Eddine Salhi, tente autant que faire se peut d�y rem�dier en lan�ant des op�rations d�am�nagement et de r�habilitation et ce, en l�absence quasi totale et prolong�e des responsables municipaux qui ne se sentent m�me pas concern�s par la gestion de leur ville. Dans cette ordre d�id�es, et dans le seul but d�am�liorer un tant soit peu le cadre de vie des citoyens et donner un visage plus agr�able � la ville, plusieurs op�rations ont �t� entreprises o� vont l��tre incessamment. A commencer par l�am�nagement de l�entr�e est de la ville, au niveau de la cit� Sennaoua. Les travaux sont en phase d�ach�vement et ont co�t� la bagatelle de 17 milliards de centimes. Une op�ration similaire est pr�vue � la cit� El-Kherba, pour une enveloppe de 20 milliards. Une autre op�ration est en cours, elle concerne l'entretien et le ravalement de plusieurs b�timents. Ainsi, 6 cit�s de 135 b�timents et 1 256 logements vont �tre touch�s par ces travaux pour un montant de 1,7 milliard. La r�fection de l��tanch�it� de 39 b�timents (390 habitations) est �galement programm�e, pour une enveloppe de 1,3 milliard. Cette m�me op�ration englobe, enfin, la r�habilitation du cadre b�ti dans 37 cit�s � travers la wilaya, pour un montant de 4,8 milliards. A signaler que la totalit� ou presque de ces b�tisses raval�es sont justement situ�es sur l�axe A sur le boulevard o� est implant� le gros des infrastructures nouvelles : si�ge de la wilaya, h�tel des Finances, les si�ges de la Protection civile, de la garde communale, de la DPAT, la formidable CFPA en construction, le beau mus�e du moudjahid en finition et l�extraordinaire belle r�alisation qu�est la maison de la culture, un v�ritable chef-d��uvre architectural. Les responsables de la wilaya veulent en faire le boulevard le plus attrayant, le plus attractif de la ville. D�autant plus que les cit�s situ�es sur les hauteurs de la ville repr�sentent la nouvelle ville en quelque sorte de Mila. Une partie de la ville qui va conna�tre certainement un essor urbanistique consid�rable.


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