La cit� de B�ni Malek continue de broyer du noir et de souffrir de la d�gradation de son cadre de vie, les correspondances adress�es aux instances comp�tentes n�ont trouv� aucun �cho favorable, aux dires des membres du comit� de quartier. Les commodit�s n�cessaires � une vie d�cente semblent d�serter l�environnement de l�une des plus grandes cit�s de la ville, et ce, en d�pit de son emplacement strat�gique, sur les hauteurs de la partie nord-ouest de la ville o� r�sident une cat�gorie sociale que l�on dit hupp�e dans des villas et des habitations aux appartements haut standing. L�un des principaux probl�mes soulev�s par les habitants serait la dotation des immeubles de compteurs install�s dans le m�me emplacement, une d�cision prise par Sonelgaz dans un souci de s�curit�, diton. Ce qui n�est pas de l�avis de tout le monde apparemment. Les incendies survenus il y a de cela quelques mois, au niveau des b�timents n�3, 4 et 5, seraient la cons�quence de cette mesure. Un incident sans grands d�g�ts heureusement. Routes d�fonc�es, absence d�aires de jeux, fa�ades d�immeubles non repeintes, r�seaux d�assainissement d�fectueux, risque graduel d�infiltration des eaux us�es au r�seau d�eau potable, d�versement � ciel ouvert des eaux us�es, non remise en leur �tat initial des sites affect�s � la r�alisation des travaux des entreprises de construction sont les autres facteurs pr�judiciables � la vie en communaut�, d�nonc�s dans les missives r�dig�es par l�association suscit�e. L�une de ces correspondances a �t� formul�e comme une demande d�audience au wali pour qu�il accorde � l�association une entrevue, celle du dernier espoir. L�attente dure toujours. Il y a lieu de souligner les activit�s m�ritoires de l'association sportive qui a fait un travail de proximit� et de lutte contre la d�linquance juv�nile qui n'est pas des moindres. Une petite tache blanche dans ce sombre d�cor.