La r�union du conseil national du FFS qui s�est tenue ce week-end s�est distingu�e d�une mani�re particuli�redes autres r�unions organiques de ce parti. Outre le huis clos qui a suivi les d�bats des membres du conseil national, ces derniers ont eu droit juste apr�s � l�allocution faite par Ali Laskri lors de deux conf�rences. La premi�re assur�e par M. Daho Djerbal, professeur d�histoire � l�universit� de Bouzar�ah et chercheur et directeur de la revue Naqd sur le th�me : �La probl�matique de la qu�te du droit citoyen dans l�Alg�rie contemporaine�, alors que la seconde a eu pour th�me : �La question du droit international dans le contexte des crises du Proche-Orient et les incidences sur la transformation des r�gimes et des soci�t�s arabes.� Cette seconde conf�rence a �t� assur�e par l�avocat, militant des droits de l�homme et enseignant � l�universit� des sciences juridiques d�Alger, M. Mustapha Bouchachi. A ce propos, le premier secr�taire national du FFS a indiqu� : �Notre rencontre d�aujourd�hui s�inscrit dans la continuit� des d�bats et des �changes avec les animateurs politiques et sociaux.� �L�enjeu, est d��uvrer � f�d�rer toutes ces �nergies pour recr�er l�espoir, reprendre confiance et engager le pays sur le chemin de la libert�, la paix, la solidarit� et la d�mocratie�, a-t-il ajout�. Sur un autre chapitre, cette r�union ordinaire du conseil national du FFS a �t� caract�ris�e par un sit-in observ� par une soixantaine de �militants de base, de cadres et anciens� devant le si�ge de la mutuelle pour interpeller les �membres du conseil national sur la crise organique et politique que vit notre parti�. Brandissant des portraits et pancartes sur lesquel on peut lire notamment le fameux mot d�ordre du FFS qui est : �Le droit d�avoir des droits�, les militants contestataires ont plaid� pour �que le FFS prouve � l�opinion nationale qu�il a la volont� et les ressources n�cessaires � un d�passement de cette crise�.