Le secr�tariat de la section de Birkhadem, F�d�ration d�Alger du Front des forces socialistes (FFS), a, dans une d�claration rendue publique le 30 janvier 2007, r�fut� �les accusations, sans fondement�, prof�r�es par le pr�sident du FFS, Hocine A�t Ahmed qui �a mal orient� son r�quisitoire�. Ce dernier, dans un message adress� aux membres du conseil national r�unis en session ordinaire les 18 et 19 janvier dernier, a, selon les termes de cette d�claration, �port� un jugement de valeur tr�s s�v�re � l�encontre de la base militante�. Et ce secr�tariat d�estimer que �l�attitude affich�e par le pr�sident du parti � l��gard de cette base, en usant de qualificatifs ind�cents, nous semble un d�rapage politique sans pr�c�dent�. N�anmoins, cette section observe que �m�me si le pr�sident (du FFS) certifie le contraire, il n�est pas r�ellement au courant de l��tendue de la crise qui secoue le FFS depuis l��t� 2006. Son �loignement, les rapports mensongers de son secr�tariat, jumel�s � la d�sinformation qu�ils lui insufflent, font que la situation au FFS est devenue rocambolesque et insens�e�. Pour ces militants convaincus de la justesse de la protesta pour la sauvegarde du parti et qui affirment qu�ils ne sont �ni manipul�s, ni truands, ni corrompus, ni escrocs, ni � la solde de quiconque�, l�occupation du si�ge national par la base militante, en date du 21 d�cembre 2006, �n�est que la suite logique du verrouillage de toute forme d�expression � l�int�rieur du parti et des fins de non-recevoir apr�s les sit-in des 31 ao�t et 14 septembre 2006�. Tout en d�criant �galement les pr�tentions et �l�exercice policier�, us� par le premier secr�taire national du FFS contre les protestataires, ces derniers d�affirmer qu��ils restent solidaires des revendications militantes du 31 ao�t 2006 afin de remettre le parti sur les rails de ses principes fondateurs pour lesquels nos a�n�s se sont sacrifi�s�.