La section th��tre, entrant dans le cadre d��Alger, capitale de la culture arabe� 2007, a entam� ses activit�s d�un bon pied. Ce remarquable d�marrage est attest� par le bilan �tabli par la direction du Th��tre national alg�rien (TNA) Mahieddine- Bachtarzi. Pour les trois pi�ces pr�sent�es, entre le 22 janvier et le 8 f�vrier 2007, en l�occurrence le Dernier conteur, la Descente d�Ishtar aux enfers et le Fleuve d�tourn�, on a enregistr� plus de 7 000 entr�es. Pour la premi�re pi�ce, le Dernier conteur, �crite par Abdelkrim Barchid et mise en sc�ne par El Moundji Ben Brahem, elle a enregistr� plus de 3 000 entr�es. Pr�sent�e cinq fois de suite, soit du 22 au 26 janvier dernier, la pi�ce a eu un �cho favorable aussi bien chez la critique que les spectateurs. Ces derniers �taient d�ailleurs fort nombreux � venir assister � un spectacle maghr�bin, puisque l�auteur est marocain, le metteur en sc�ne tunisien et les com�diens alg�riens. La deuxi�me pi�ce, la Descente d�Ishtar aux enfers, de la compagnie th��trale Praxis de Miliana, a enregistr� 1 624 entr�es. Adapt�e et mise en sc�ne par Kara Sid Ahmed d�apr�s l��pop�e de Gilgamesh, qui est aussi la premi�re �pop�e de l�histoire de la litt�rature, la pi�ce a �t� repr�sent�e � trois reprises, soit du 30 janvier au 1er f�vrier. La troisi�me et derni�re pi�ce pr�sent�e est le Fleuve d�tourn�. Cette �uvre th��trale, pr�sent�e par le Th��tre r�gional de B�ja�a, est adapt�e par Omar Fetmouche d�apr�s le roman de Rachid Mimouni. La mise en sc�ne est sign�e Hamida A�t El Hadj. Cette pi�ce, dont les principaux r�les ont �t� camp�s par Lotfi Double Kanon, Mourad Khan et Redha Doumaz, a fait 2 365 entr�es. Le nombre impressionnant de spectateurs qui a afflu� au TNA est d�, selon toute vraisemblance, � l�insertion des �stars�, reconverties en com�diens. Par ailleurs, Omar Fatmouche a indiqu� avoir pris en compte, dans cette adaptation th��trale, l'esprit du texte, la trame de l'histoire et m�me les objectifs de l'auteur du roman, Rachid Mimouni, qu'il a connu personnellement. Par ailleurs, le Th��tre national alg�rien (TNA) compte encore pr�senter d�autres pi�ces. On promet que les prochaines productions th��trales seront plus importantes, que ce soit au plan du jeu que des textes � pr�senter. Il convient de rappeler enfin que la section th��tre, entrant dans le cadre d��Alger, capitale de la culture arabe� 2007, compte produire tout au long de cette ann�e pas moins de 45 pi�ces. Le public du quatri�me art trouvera certainement son compte. �a sera �galement une occasion pour les com�diens de se montrer sur sc�ne.