Loin de vouloir �tre � la source d�une quelconque pol�mique, l�on ne peut rester sans r�action devant l�article paru le 17 mai 2007 dans les colonnes du quotidien Le Soir d�Alg�rie sous le titre (�le Dr Soltani raconte le �crime�). Cet ex-pr�sident s�insurge contre les magouilles et jeux de coulisse qui l�ont mis out, alors qu�il �tait un fervent de cette mani�re de g�rer qui a men� la boxe � sa situation actuelle. Au lieu de prendre en charge les vrais probl�mes, causes de la d�cadence de la boxe, il l�a vu r�gresser, durant son r�gne, dans toutes les comp�titions internationales (JO, championnat du monde, Jeux m�diterran�ens, championnat d�Afrique et Jeux africains), avec en prime, 2000 boxeurs comme effectif (AG de janvier 2004) cette r�colte est due notamment au travail de coulisse entrepris, entre autres, contre les ligues dissidentes et surtout celle de Constantine dont j��tais le pr�sident. Ainsi, il nous a emp�ch�s d�organiser le championnat national seniors, sans raison valable et apparente et aussi en sabotant l�organisation d�un tournoi international. Ce comportement n�gatif, s�est �tendu � nos boxeurs internationaux et surtout Saki Cherif qui a �t� emp�ch� de participer aux JO d�Ath�nes, alors qu�il constituait une r�elle chance de m�daille. Et il fut remplac� par un boxeur bless� qui n�avait aucune chance de qualification. Pire encore, cet ex-pr�sident a utilis� des moyens mat�riels (Gants) au profit de sa propre campagne �lectorale. Aujourd�hui, alors qu�on s�attendait � un mea culpa de sa part ; mal conseill�, il tient � �tre dans la peau d�une pauvre victime. Situation que peut revendiquer Monsieur A�ouaz, comp�tence reconnue de la boxe, qui fut exclus de l�assembl�e g�n�rale par ce m�me Soltani. Et cet �minent chercheur de la boxe continue � subir le m�me sort de la part de la nouvelle �quipe, dans un chaos indescriptible par l�instauration d�une politique n�faste au d�veloppement de la boxe. Actuellement, n�importe qui se conf�re de fait, le droit de porte-parole de la FAB, sans en d�tenir une quelconque responsabilit� (cas de Monsieur Kheddim) Monsieur Mechta : �Prenez vos responsabilit�s�. Et pour clore le d�bat, je dirais � MM. Khedim et Harima, que valent une coupe et un championnat ? Si ce n�est une r�compense morale (E. N.) car sinc�rement, cela ne vaut rien sur le plan financier tant pour le club que pour le boxeur. Ces titres ne sont-ils pas des crit�res objectifs pour une s�lection ? Enfin, cette modeste mise au point va dans le sens d�une prise de conscience de l�ensemble des acteurs du noble art alg�rien dans l�unique objectif : l�am�lioration. M. Demmene-Debbih Bouguerra (ex-pr�sident de la Ligue constantinoise de boxe et actuel DTS du BCC).