Dans un contexte marqu� par la r�pression aveugle des libert�s d�expression et d�opinion ainsi que par la non-reconnaissance de l�autonomie syndicale, le CCDR, �pris de paix et de justice sociale, s�incline, avec respect, � la m�moire de toutes les victimes du Printemps amazigh et du Printemps noir, printemps de toutes les libert�s bafou�es, de la d�mocratie musel�e et d�une jeunesse martyre, que le pouvoir continue � ignorer.