Les derni�res intemp�ries ont occasionn� des d�g�ts non n�gligeables aux infrastructures routi�res et � l�environnement ainsi qu�� l�arboriculture, mena�ant les biens et les personnes � travers les communes de Bouzegu�ne et d�Illoula Ou Malou, notamment aux villages Ihitouss�ne, Ibekar�ne et Tabouda o� plusieurs familles vivent dans la crainte de voir leurs habitations emport�es par les affaissements et les glissements de terrain qui se sont d�clar�s ou r�veill�s la semaine derni�re. Un drame accentu� par le sentiment d�abandon de ces familles comme � Ihitouss�ne o� l�alerte a pourtant �t� donn�e depuis quelques ann�es d�j� par la population sans que les pouvoirs publics daignent r�agir, si ce n�est par des promesses sans lendemain. A Tabouda, un PV a �t� cependant dress� par la commission de da�ra devant le danger que laisse planer le glissement de terrain au chef-lieu, selon le P/APC. Le CW251 n�a pas �t� �pargn� par les pluies et la neige � Takharouvth, et vers le col de Chr�a o� la chauss�e a subi plusieurs affaissements dus essentiellement aux coul�es de boue et de roches, � l�obstruction des caniveaux et � l�absence d�entretien de la chauss�e. La situation est autrement plus inqui�tante au niveau de l�ouvrage sommaire situ� � Ihitouss�ne, un pont qui s�affaisse chaque ann�e durant la p�riode hivernale laissant para�tre des trous b�ants que l�on se contente de boucher sans qu�une solution idoine ne soit apport�e � ce probl�me qui donne des frayeurs aux usagers de cette route tr�s fr�quent�e par les engins et les transports en commun � r�tr�cie � cet endroit � et o� le danger n�est signal� que par de simples pierres. Attendrait-on le drame pour intervenir de fa�on drastique ? Sur ce point, les citoyens se demandent si des r�unions d��valuation des d�g�ts sont faites par les services concern�s �qui attendent souvent que les citoyens les tarabustent pour bouger�. S. Hammoum Ouverture de deux cantines � Mekla Le directeur de l��ducation de Tizi- Ouzou a pr�sid� dimanche dernier, en pr�sence des autorit�s locales, des conseillers en alimentation scolaire et des chefs d��tablissement de la r�gion, la c�r�monie d'ouverture de deux cantines solaires � Mekla et Djema� Saharidj. La premi�re est un am�nagement de l�ancien si�ge du CAS � l��cole Abar- Mokrane, r�alis� par la commune qui a inject� un million de dinars dans l�op�ration en plus de la dotation en mat�riel, alors que la cantine Haddouchi doit son ouverture � un g�n�reux citoyen qui a mis gracieusement sa salle des f�tes et tout son �quipement au service de l��cole dans l�attente d�un imminent projet de construction. Ces acquisitions viennent, selon le CAS de Mekla, M. Harrouche, porter le nombre de b�n�ficiaires du repas scolaire dans la circonscription de Mekla � 3 594 �l�ves sur les 3 909 scolaris�s, soit un taux de 91,94%, et 22 �coles sur 29. Un nombre que compte porter � 100% la DE, de la bouche m�me de son premier responsable qui a annonc� que la da�ra de Mekla a b�n�fici� cette ann�e de deux nouvelles inscriptions de cantines � Chaouffa et � Djema� Saharidj. Les enseignants de Haddouchi ont soulev� le probl�me de qualification des cuisiniers, chose qui n�est pas dans les cordes de la DE de Tizi-Ouzou puisque les �coles primaires d�pendent des communes. Mais il est sugg�r� que l'APC privil�gie les dipl�m�s pour les recrutements dans le cadre du pr�-emploi. Cela alors que le principe de nommer un gestionnaire exp�riment� est d�j� retenu. Pour rappel, cette ann�e l�allocation journali�re est de 30 DA par �l�ve et par jour.