La commune d�Azazga fait face � un v�ritable front d�opposition aux divers projets de d�charge publique propos�s en attendant la r�alisation du CET de Boubhir qui r�glera d�finitivement le probl�me pour plusieurs localit�s de la r�gion. Apr�s la fermeture de la d�charge du lieudit Zen par les riverains, il y a quelques ann�es, puis l�avortement d�un autre projet de d�charge toujours suite � l�opposition des citoyens, la ville d�Azazga a connu un �t� 2008 franchement catastrophique qui a contraint l�APC � laisser s�amonceler des monticules de d�tritus au centre-ville. Apr�s avoir tir� la sonnette d�alarme, d�cision a �t� prise de r�unir l�ensemble des villages et les associations de l�environnement pour trouver vainement une solution provisoire. Les villages se montrant r�tifs d�s lors que le projet est situ� pr�s de leurs terres. Une ultime tentative consistant dans la proposition d�un autre site pr�s de l�h�pital d�Azazga, se heurtera au veto des services des for�ts. De guerre lasse l�APC optera � contrec�ur pour un site toujours provisoire au lieudit Amdhiq Ath A�ssi pr�s de Yakouren. Un superbe site forestier, habitat des singes Magot qui viennent se nourrir dans les tas de d�tritus qui ont compl�tement d�figur� le paysage. Une pollution directe qui n�a eu de cesse d�inqui�ter l�APC d�autant que l�endroit au relief accident� ne permet pas aux engins d�intervenir tout comme il �tait interdit de recourir aux incin�rations au risque d�embraser la for�t. Revenant � la charge, l�APC r�ussira � infl�chir la position des services des for�ts qui ont finalement fini par donner leur quitus au site propos� par la commune apr�s la sortie de prospection effectu�e le 12 mai en pr�sence de tous les services et partenaires concern�s : le site Taqenderth Thaverkent, canton Zra�b, propri�t� domaniale. L�APC charg�e d�engager les travaux en tenant compte des normes environnementales, � savoir proc�der � des travaux de terrassement et cr�er des tranch�es de 40 m de longueur, 20 m de largeur et 8 m�tres de profondeur devant recevoir des ordures avant leur enfouissement avec possibilit� d�en faire de futurs terreaux pour l�agriculture, se heurtera encore une fois � l�opposition du village Tadert qui fera parvenir le 27 juin une p�tition sign�e par 120 personnes qui explique en gros les raisons de l�opposition : site situ� dans une for�t � 200 m de l�h�pital, � proximit� d�un cours d�eau et sur un site historique, des grottes du pal�olithique� Ils terminent par proposer � l�APC un autre site. Commentant le mouvement, le P/APC parle de manipulation et indique avoir re�u des familles favorables au projet et que la p�tition est le fait de deux ou trois familles et de gens n�ayant pas atteint la majorit�. Il avait entre-temps re�u, selon lui, la visite de trois personnes auxquelles il a expliqu� les avantages du site. Mais avant cela, l�entreprise charg�e de l�am�nagement du site fera l�objet de menaces de la part d�un groupe d�individus, toujours selon le maire, qui a indiqu� avoir engag� une proc�dure judiciaire contre ces personnes avant de revenir � de meilleurs sentiments apr�s une audience avec d�autres villageois. Mais voil� qu�on apprend de cette m�me APC, le maire �tant en cong�, que la plainte est toujours maintenue devant le refus de laisser faire les travaux. Le P/APC, qui fait de l�environnement une priorit� sur tout autre projet, avouait que ce probl�me de d�charge constitue un point noir dans la gestion de la commune. Il avait conclu en martelant qu�on n�a pas le droit de faire de la politique avec la sant� publique et que ce probl�me constitue un point noir pour la commune que le P/APC ne peut pas r�gler tout seul� S. Hammoum
Les acqu�reurs des 265 LSP de Hamout�ne m�contents L�association des acqu�reurs des 265 logements LSP du lotissement Hamout�ne de Tizi-Ouzou se d�clare, dans une menace � peine voil�e, d�termin�e � user de tous les moyens r�glementaires pour d�fendre les int�r�ts de ses membres. Un conflit larv� est ouvert avec le promoteur qui tenterait, 4 ans apr�s que les acqu�reurs lui eurent confi� leurs �conomies et alors que les travaux commenc�s en 2005 accusent de nombreux retards, d�imposer un contrat unilat�ral avec des clauses tout � fait abusives, selon les termes d�une d�claration dat�e du 6 juillet. �Un chantage abject� s�exercerait sur les acqu�reurs, dans le d�sarroi, visant � les faire signer un contrat l�onin tr�s tardif dans lequel le promoteur s�octroie une r��valuation de 15%, fixe arbitrairement la livraison des logements � d�cembre 2010 � partir de laquelle il consent, admirez la g�n�rosit�, des p�nalit�s de 0,003% soit 55 DA par jour de retard sans omettre de s�accorder, cerise sur le g�teau, un d�lai de gr�ce de 6 mois occultant majestueusement tous les retards accumul�s jusque-l�, pr�cise l�un des auteurs de la d�claration. Le tout serait assorti d�une menace d�exclusion de ceux qui refuseraient de signer ce contrat o� les acqu�reurs n�ont que l�obligation de payer et d�attendre, indique la m�me source. 25 � 30 millions de plus, par acqu�reur, le co�t pr�vu contre 55 DA de p�nalit� de retard par jour courant � partir de 66 mois du d�but des travaux, c�est ahurissant mais tol�r� au regard du silence observ�, � cet �gard, par les autorit�s concern�es saisies par nos soins, ajoute la m�me source d�sappoint�e mais d�termin�e � combattre ce qu�elle estime �tre une injustice