Les travailleurs de l�Entreprise nationale du li�ge vivent une situation de plus en plus difficile. En effet, dans une requ�te transmise aux responsables de la Soci�t� de gestion de participation dont d�pend l�entreprise, ils affirment qu�ils n�ont pas per�u leurs salaires depuis six mois, ce qui rend leur quotidien de plus en plus al�atoire en cette conjoncture �conomique critique. Les 75 travailleurs de cette entreprise s�insurgent contre l�arr�t de l�outil de production depuis bient�t trois ans. Ils ont tenu � souligner, en outre, que durant le mois de janvier 2009 qu�ils ont �t� destinataires d�une lettre au terme de laquelle il fut convenu de l��laboration d�un protocole d�accord avec le partenaire social devant se traduire par la dissolution de ladite entreprise et que l�ensemble des travailleurs seront indemnis�s. Cependant, ils estiment que rien n�a �t� appliqu�. Face � leur situation jug�e critique, les travailleurs de l�ENL lancent un appel aux responsables de la SGP pour une prise en charge de leur pr�occupation, � savoir leur indemnisation. Un march�, une pr�occupation majeure Apr�s la fermeture de l�ancien march� de fruits et l�gumes, la population de la ville de Taher demeure d�pourvue d�un march�. En effet, les commer�ants de l�ancien march� boudent toujours l�ex-si�ge de Souk El- Fellah qui a �t� am�nag� par les services communaux pour abriter le nouveau march�. Selon des informations recueillies aupr�s des services communaux, on apprend que le nouveau march�, pourvu de parking, est pr�t pour abriter tous genres d�activit�s commerciales. Du c�t� des commer�ants, on justifie ce refus par l��loignement de son emplacement faute d�un march� de fruits et l�gumes. Les habitants de Taher, dont la population avoisine les 80 000 �mes, sont contraints de faire toute une gymnastique pour s�approvisionner en fruits et l�gumes, ce qui a provoqu� la flamb�e des prix de ces produits. LE BIDONVILLE HERRATEN DANS LA COMMUNE L�interminable attente... En d�pit des engagements des autorit�s locales pour la prise en charge de leurs dol�ances, � savoir leur recasement dans des logements d�cents, force est de constater que le calvaire des habitants de Herraten se poursuit toujours. Il convient de rappeler que ce bidonville, totalisant plus de 300 familles entass�es dans des taudis, qui a d�fray� la chronique locale en avril dernier suite � l��pid�mie de typho�de qui a touch� plus de 253 personnes suite une crossconnexion de l�eau potable avec le r�seau d'assainissement conna�t une situation de plus en plus difficile, notamment avec l�approche de l�hiver. �Shab El-Ghrerba� lancent un appel de d�tresse aux services comp�tents pour leur recasement conform�ment aux engagements tenus par le ministre de la Sant�, de la Population et de la R�forme hospitali�re, Sa�d Barkat, lors de sa visite dans la wilaya en avril dernier.