Annonc� en grande pompe en substitution � l�ancien CEM en pr�fabriqu� qui ne r�pond plus aux exigences les plus optimales des conditions d�enseignement des �l�ves de la localit� de Tamassit, dans la commune des Aghribs, le nouveau CEM qui sera construit en dur cette fois tarde � voir le jour au point de cultiver l�impatience des parents des �l�ves scolaris�s dans l�ancien �tablissement. Les travaux qui devaient d�buter au milieu de l�ann�e 2009 accusent un �norme retard et sont m�me au point mort puisque l�assiette d�implantation du projet est toujours vierge et jusqu�� pr�sent aucun signe ne vient pr�sager d�un imminent d�but de travaux. Pourtant l�entreprise charg�e de la r�alisation du projet a �t� retenue et rien ne pr�voyait d�un tel retournement de situation. Le point d�achoppement serait la construction de la cantine scolaire dont l�entrepreneur d�tendeur du projet avait refus� sa prise en charge puisqu�elle ne figurait pas sur le cahier des charges pr�alablement �labor�, ce qui n�cessite donc une r�vision de l�enveloppe allou�e au projet pour l�int�gration de la structure objet du litige. Pour rappel, l�ancien CEM en pr�fabriqu� a d�pass� la date de sa validit� et pr�sente une v�tust� manifeste qui nuit au bon d�roulement du cursus scolaire des enfants. Le chauffage par exemple est carr�ment d�fectueux et n�cessite m�me une autre installation, seulement, peut-on engager des frais d�une nouvelle chaufferie alors que l��tablissement est si pr�s de la fermeture ? Autant d�autres d�sagr�ments comme son exigu�t�, son manque de salles ou la chaleur y r�gnant � partir du mois de mai, ce qui confirme l�urgence de sa fermeture et la n�cessit� de l�ouverture du nouveau CEM. Pour ce faire, le chemin semble long puisque l�on tergiverse encore sur l�entame des travaux ; que dire alors de leur ach�vement. En attendant, et fort heureusement, l�ancienne structure poursuit sa destin�e de belle mani�re malgr� le manque de moyens et ce, en arrivant tout de m�me � d�crocher la premi�re place de la commune d�Azeffoun dans la r�ussite de l�examen du BEM avec 80% de r�ussite. F. B. L�association Akfadou dresse un �tat des lieux de l�environnement � Bouzegu�ne Cr��e tout r�cemment, l�association pour la protection de l�environnement Akfadou de Bouzegu�ne entend s�impliquer de mani�re concr�te dans la probl�matique de la prolif�ration des ordures m�nag�res, situation que conna�t la da�ra de Bouzegu�ne. Celle-ci compte une cinquantaine de villages et autant, sinon plus, de d�charges publiques dont certaines font craindre le pire aux habitants. En effet, et � en croire le pr�sident de cette association, quelques villages renferment des d�charges sauvages dans chaque quartier ou groupement familial. Certains villages, comme Taourirt, Takoucht ou encore Ath- Said ont eu l�id�e d�organiser la collecte de leurs d�chets m�nagers qu�ils �vacuent par leurs propres moyens � la d�charge communale d�Azaghar. L�association, qui a mis � profit le travail de deux �tudiantes sur le sujet, a stigmatis� le danger que font encourir ces d�charges incontr�l�es sur la population, la faune et la flore. Une remarque qui vaut, selon les commentateurs, pour la d�charge communale qui surplombe une retenue d�eau o�, selon l�association, seraient m�me jet�s des carcasses d�animaux en sus des ordures m�nag�res qui envahissent quotidiennement la retenue collinaire cens�e arroser les terres agricoles en amont et en aval, ordures qui d�bordent sur la chauss�e. La conf�rence sur la probl�matique de la prolif�ration des ordures m�nag�res dans la wilaya de Tizi-Ouzou anim�e vendredi dernier par Boudjemaa Salem, enseignant � l�universit� de Tizi-Ouzou et membre de la commission environnement de l�APW, a longuement �voqu� ces probl�mes dont la solution r�side dans les projets de CET et de d�charges publiques contr�l�es. A ce propos, tout le monde s�interroge sur le projet de CET pr�vu � Boubhir et pr�voyant d�endiguer ce v�ritable fl�au dans la r�gion qui, � l�image d�Azazga, constitue un v�ritable casse-t�te pour la soci�t� par le recours au provisoire qui dure au point de transformer la verdoyante for�t de Yakouren en d�charge mena�ant la biodiversit� et m�me le biotope de l�importante colonie de singes magot qui vit dans ce massif forestier, esp�ce menac�e de disparition. Une journ�e de nettoyage a �t� organis�e samedi le long du CW251 sous le slogan �protection de l�environnement, entrons dans le monde de demain� pour sensibiliser la population sur ce probl�me qui constitue un s�rieux danger pour la sant� publique et le bien-�tre de la population dont le regard est quotidiennement agress� par les monticules d�ordures, points noirs de beaucoup de villages de la da�ra. S. H. L�APW octroie 50 millions pour les f�tes de la poterie, des bijoux et du tapis Les f�tes de la poterie � Ma�tkas, des bijoux � Ath Yenni et du tapis � Ath Hichem (commune de A�t-Yahia) auront toutes droit � 50 millions de subvention octroy�s par l�APW de Tizi-Ouzou. Une cagnotte qui aura �t� d�j� allou�e depuis quelques ann�es � ces municipalit�s dans le cadre de la tenue des ces importants rendez-vous socioculturels. Les �diles de ces communes ont �t� destinataires d�une correspondance les informant de cette subvention. Il y a lieu de signaler que ces sommes restent d�risoires compte tenu des d�penses faramineuses que n�cessitent ces manifestations, heureusement que dans la foul�e, il y a aussi des sponsorings et autres subventions de la part de soci�t�s et autres organismes tels que la Chambre des arts et m�tiers, entreprises� qui contribuent � renflouer les caisses des diff�rentes associations qui organisent ces �v�nements festifs. Rendez-vous est pris donc pour ces manifestations pour le courant de cette nouvelle ann�e 2010, pour peu qu�il n�y ait pas de contraintes qui viendraient annuler l�une ou l�autre des ces f�tes comme ce fut le cas � maintes reprises par la pass�.