Khema�s, malade, souffre le martyr en ville, � cause de la raret� de toilettes publiques. M�me les caf�s ferment leurs toilettes aux clients. �On parle de tourisme en Alg�rie. Comment voulez-vous accueillir des �trangers alors que ce minimum n�est pas assur� dans nos villes�, dit-il. �C�est d�solant de vivre cela dans la capitale m�me�, souligne Ahssis�ne qui ajoute : �Je comprends pourquoi les entr�es d�immeuble, les escaliers et les passerelles empestent l�urine.� Est-ce donc si difficile, pour la wilaya, d�implanter, un peu partout, des points sanitaires ?