Depuis des ann�es, le citoyen se pose la question de l�absence de l'Etat au sens constitutionnel du terme dans les domaines o� il est cens� intervenir et il se rend compte que malgr� l'existence d'une constitution, d'un pouvoir l�gislatif donc de lois r�gissant la soci�t� et toute activit� et action quelque soit sa nature, d'institutions garantissant les droits, devoirs, libert�s et biens du citoyen, groupements et collectivit�s, d'un appareil judiciaire avec ses l�gislation civile, p�nale et administrative malgr� cela il existe un ar�opage de gens nomm�s par d�cret ou par arr�t� qui �g�rent� la vie du citoyen, plut�t celle de millions d'Alg�riens comme bon leur semble sous le vocable �c'est le r�glement, ce sont les ordres, c'est la d�cision des patrons� et ainsi disposer de tout un pays et ses habitants, donner et �ter des droits, disposer de la libert� du citoyen, le sanctionner, lui cr�er un patrimoine ou le lui retirer, cr�er un groupement d'individus et le d�signer sous le vocable de soci�t� civile et diaboliser tel autre groupement et lui refuser toute activit� publique bref d�cider comme bon leur semble du citoyen et bafouer les lois et institutions qui sont l� pour sauvegarder ses droits et son existence et ils pr�tendent appliquer la loi alors qu'il sont des analphab�tes en puissance vis-�-vis de cette mati�re et il leur arrive m�me de jeter cette affirmation � la figure d'un juriste qui en a fait son m�tier depuis des d�cennies et soutiennent cela mordicus alors que la l�gitimit� de leur point de vue tire sa source pas plus loin que le fauteuil sur lequel ils sont affal�s et le comptoir derri�re lequel ils sont retranch�s et cette m�me entit� d'agents cens�s verbaliser les d�linquants qui emp�chent le citoyen de vivre sereinement et paisiblement sa vie, l'abandonne � son sort et sans possibilit� pour lui d'acc�der � un recours et sont invisibles dans leur secteur de d�volution, qu'ils sont cens�s surveiller et mettre fin aux activit�s ill�gales des d�linquants en tous genres petits ou grands et parfois plus prosa�quement mettre fin � une simple voie de fait ou une intervention dans un diff�rent de voisinage sans vous renvoyer � toute une proc�dure qui �loigne d'eux la victime et la laisse � la merci de l'intrus, de l'indu, du �plus fort�, du voyou, des bandes et enfin de la mafia qui g�re le pays. Ainsi le citoyen depuis l'instant o� il sort de son domicile, m�me avant, � travers ce qu'il voit tout au long d'une journ�e se rend compte que certains rouages de l'�tat ne s'acquittent pas des missions qui leur sont d�volues et pire sont absents de la place publique. Savoir : � La s�curit� publique : la s�curit� du citoyen et de ses biens, la r�glementation de la vie en soci�t� est compl�tement abandonn�e � des individus qui s'ils ne cumulent pas des vices ou des tares, s'adonnent � des comportements destructifs de la soci�t� et pour preuve des carnages avec utilisation de moyens de guerre ou utilisation de v�hicules de transport de personnes ou de marchandises de gros tonnage et charg�s �plus qu'� ras bords� sur des routes dont la structure ne permet pas leur circulation, v�hicules tous neufs obtenus par de modiques versements par des gens qui n'en ont aucune utilit�, n'ont aucune activit� apparente et qui tous les jours, toutes les nuits ne font que d�ambuler (gens du voyage ? manouches ?) en �talant leur niveau de vie (cylindr�e, t�l�phone, sono) d'une mani�re provocatrice aux yeux de gens qui s'ils trouvent le d�jeuner ne trouvent pas le d�ner et se permettent d'occuper la voie publique de la m�me mani�re qu'ils conduisent et sans aucun respect de l'entourage et c'est la preuve qu'il vivent sur leur dos et que les r�gles qui r�gissent tous les citoyens ne s'appliquent pas � eux et ils ne pr�tent aucune attention aux agents charg�s : de verbaliser les infractions et qui parfois temporisent de peur pour leurs places et c'est toujours le �petit� qui trinque pour la moindre v�tille. Et cet �usus et abusus� de la voie publique a pour principale cons�quence les massacres et les h�catombes et les forces de s�curit� n'arrivent que pour faire le compte des morts et des bless�s. Et les m�urs, us et coutumes de la soci�t� sont pi�tin�s sans aucune vergogne soit disant au nom d'une libert� de �faire ou de ne pas faire ou dire ou de ne pas dire� c'est-�-dire une absurdit� qui n'a absolument aucun fondement ni justification si ce n'est le �m'a-tu-vu� et partant de l� c'est le tapage des cort�ges, des soir�es qui ne finissent pas, des constructions qui coupent des rues, des travaux �bidon� qui empoisonnent la vie des citoyens par des gens qui se parent du costume de l'Etat, des constructions � tort et � travers sans aucun respect de l�environnement qui g�chent la vie et bouchent la vue du citoyen et soi-disant destin�s � loger des citoyens n�cessiteux et ceux qui sont charg�s de les �difier se comportent comme si le domaine public leur appartenait et les citoyens des g�neurs, qui est charg� de contr�ler � voire r�primer � tous ces �carts de comportements qui en principe n'ont pas lieu d'�tre si la morale, le civisme, le respect de la loi et � d�faut le bras de la loi �tait omnipr�sent par ses uniformes et ses moyens de dissuasion ad�quats. � Le commerce, le contr�le des prix, l'interdiction et m�me le bannissement de toute mati�re import�e sans aucun contr�le de qualit� alors qu'elle est fabriqu�e localement, la lutte contre la vente � la sauvette au nom de l'ordre public, la sauvegarde de la dignit� du commer�ant qui paie ses imp�ts, de la sant� publique qui sont les piliers de la vie sociale sont inexistants, � preuve les prix flambent et personne ne se soucie de faire une tribune, une table ronde, un point de presse, un coin de presse, un prime time de 20 h, il pour aviser ou informer les citoyens de la situation et de ce qui pourrait �tre fait pour les soulager, mais rien comme si le probl�me concernait un autre continent. Et pourtant le probl�me peut �tre r�solu par l'instauration d'un corps sp�cialis� (police, imp�ts, commerce, agriculture) pour un contr�le strict des prix et faire respecter un prix plafond pour les l�gumes de premi�re n�cessit� ainsi qu'un contr�le strict et le suivi du prix de la viande bien avant l'entr�e � l'abattoir jusqu'� l'arriv�e chez le boucher et imposer un prix plafond dans les p�riodes de surplus de consommation m�me par l'application d'un syst�me de soutien des prix. �La sant� publique : Aucune surveillance stricte ni coordination des h�pitaux entre eux, il faut savoir que nul quelque soit sa sommit� n'y poss�de une boutique en bien propre, h�rit�e ou acquise par transaction comme on ach�te une �picerie et le citoyen a le droit d'ing�rence et de consultation de son dossier ou celui de son proche sans que pour cela il doive d'abord proc�der � une action en justice, comme il doit avoir des explications et des �claircissements par le m�decin ou le sp�cialiste qui le traite ou le chirurgien qui doit l'op�rer ; car on n'est pas � l'abattoir et le malade est un �tre humain et pas du b�tail. En attendant il faut revoir le syst�me et y faire des r�formes en instaurant une m�decine payante � mais pas en instaurant des tarifs mirobolants � � charge pour l'h�pital de justifier les honoraires r�clam�s et le rendre � ainsi que le praticien � responsable et comptable des erreurs m�dicales (l'actualit� des chirurgiens devant la justice a �t� publi�e derni�rement par un quotidien) et pour ceux dont les revenus sont faibles envisager une prise en charge du minist�re de la Solidarit� nationale et dispenser de paiements les indigents sous r�serve de pr�sentation de justifications d�ment �tablies. Toute cette coordination veut qu'elle soit op�rante entre structures, c'est-�-dire qu'� partir du moment o� un malade p�n�tre dans l'enceinte de l'h�pital ; il doit �tre pris en charge par cette structure et � d�faut �tre �vacu� par ses soins ou rendre le SAMU responsable de sa prise en charge et dresser un compte rendu complet de sa prise en charge, son �vacuation, sa remise � la structure accueillante, les moyens mis en �uvre par cette derni�re pour les soins du malade et rendre ainsi le SAMU pl�nipotentiaire de toutes initiatives de transfert et �vacuation avec droit de regard sur toutes les op�rations effectu�es par les structures qui ont vu transiter le malade (patient ; accident�, traumatis�, pr�sentant une insuffisance) et en faire un rapport circonstanci� remis contre d�charge � l'administration hospitali�re dont est issue l'unit� d'�vacuation et conserver une copie qui sera r�pertori�e et archiv�e et remise � la justice en cas de proc�s civil ou p�nal, cela �vitera aux malades et � leurs parents d'�tre d�ambul�s et trimball�s d'h�pital en h�pital � la recherche d'une structure idoine et en attendant le malade rend son dernier soupir entre une ambulance et une autre (ce qui a fait l'objet derni�rement d'une lettre d'un citoyen � un quotidien et qui n'a fait l'objet d'aucune mise au point d'un quelconque service ni d'aucune hi�rarchie ; le m�me cas s'�tant produit en France a entra�n� une mise au point et mise en cause de la ministre de la Sant� qui s'est mise personnellement en qu�te de lits de r�animation et a r�organis� tout le syst�me). � Les agences de soci�t�s dispensant un service public et � ce titre beaucoup de leurs agents y exercent un dictat de l'entr�e aux �tages, aucune r�gle de gestion harmonieuse et en sont � leur syst�me d'il y a trente ans malgr� l'arriv�e de l'�lectronique et m�me celle-ci tombe souvent en panne entre leurs mains, la politesse et la d�licatesse envers les clients � sauf leurs connaissances � mieux la notion de service public sont bannies m�me si le vis-�-vis est une personne �g�e ou analphab�te ou les deux � la fois. Et cela alors qu'il est possible de rem�dier � cette incurie en doublant � d'urgence pour rattraper le temps perdu � le nombre d'agences o� s'effectuent des paiements dans l'un ou l'autre sens mais avec un personnel form� avec une mentalit� de fournir un service public et ne pas regarder � la d�pense car cela fera travailler des jeunes et apr�s tout il y a tant d'agents pay�s � ne rien faire. � L'enseignement : il vaut mieux inculquer le savoir-faire plut�t que la torture des enfants par le poids et la dur�e du supplice sans motif ni explication et faire sien l'adage �mieux vaut t�te bien faite que t�te bien pleine �, car il n'existe aucune harmonie, ni continuit�, ni volont� de construire un enseignement et un savoir, mieux on renvoie par wagons entiers des gamins � peine sortis de l'enfance qui ne savent m�me pas pourquoi et apr�s qu'ils se soient dispers�s, d�sesp�r�s voire d�voy�s et sur un coup de t�te on d�cide de les reprendre pour encore un an de scolarit� et on va courir derri�re ceux qui n'ont pas �t� scolaris�s avec promesse de plainte et justice pour les parents qui tout simplement n'ont pas les moyens de payer les frais de scolarit� de leurs enfants et la mafia leur offre davantage en les employant. La solution : o� sont pass�es les associations de parents d'�l�ves ? pourquoi ne pas leur accorder un statut d'interlocuteur privil�gi� du minist�re de l'�ducation et cela avant les enseignants car ceux-l� avant d'avoir un droit de regard, per�oivent un salaire et eux aussi ont des enfants. Et cela va de mal en pis, il n'est que de voir la d�cision d'accorder � un chef d'�tablissement le pouvoir de r�glementer les horaires d'enseignement par un contrat : o� est l'�cole publique, o� est l'Etat en tant que puissance publique qui laisse na�tre et m�me prononcer cette mortelle d�rive ? � L'administration et la r�glementation : si son but est de servir le citoyen, elle est devenue son enfer quotidien et ses repr�sentants sont devenus de v�ritables potentats (ils entrent, ils sortent, comme dans un march�) et cette foison de �r�glements�, qui sert-elle et qui l'applique ? le dernier en date, la modification du code de la circulation routi�re a-t-elle apport� un changement ? est-ce que la prison et l'amende sont les solutions et pas d'autre pour celui qui discute au t�l�phone, grille la ligne continue, le sens interdit, coupe le couloir inverse pour aller discuter avec son comp�re, double deux ou trois files � l'arr�t, traverse un barrage avec un v�hicule surcharg� jusqu'� toucher terre sans aucune observation ni P-V, � preuve bien apr�s la parution du texte sur l'aggravation des peines, les h�catombes persistent et cela continuera tant que la mesure suivante ne sera pas adopt�e Savoir : Aussit�t que l'une des infractions cit�es ci-dessus � la liste n'est pas limitative � sera constat�e, un P-V sera �tabli et les pi�ces aff�rentes au v�hicule retir�es et convocation sera remise � l'auteur d'avoir � se pr�senter le lendemain � 8 h du matin devant un juge qui se prononcera sur la mise en fourri�re du v�hicule pour une dur�e entre 1 et 30 jours c'est-�-dire commencer � p�naliser le v�hicule, le retirer de la circulation pour si ce n'est �liminer le danger du moins le limiter car si le v�hicule est en fourri�re son conducteur garde son permis de conduire, ainsi celui dont la profession exige le PC ne sera pas priv� de son gagne-pain et ne pourra pas trouver argument de cela et le p�re de famille qui a faut� une fois ne verra pas son budget familial grev� par une amende mirobolante et ne pourra en tirer argument. Et c'est en ce sens qu'il fallait l�gif�rer et non s'empresser de remplir les caisses du tr�sor et laisser le mal tel que. Pire pour certains et surtout en ville et dans les ruelles l'impunit� est totale, d'ailleurs la loi y est inexistante surtout devant les �tablissements scolaires : comment toucher le conscient et l'inconscient d'un enfant lui qui n'a jamais vu un agent de police devant l'�cole et la conscience de son p�re qui vient le chercher � l'�cole car il a peur pour lui mais qui le charge sur le si�g� avant du v�hicule c'est-�-dire le soumet au danger et commet une infraction ? En ce qui concerne les infractions aggrav�es (BI et HI avec conduite en �tat d'ivresse ou consommation de drogue, exc�s de vitesse, d�lit de fuite ou avec commission d'autres infractions) les peines sont bien �tablies en droit p�nal, il convient seulement d'y ajouter l'interdiction de conduire pendant une dur�e de 5 ann�es apr�s avoir effectu� la peine. En ce qui concerne les chauffeurs de transport de personnes (taxi et bus) fixer l'�ge minimum de conduite � 35 ann�es, suivre un stage d'un an aupr�s d'un institut de la formation professionnelle et satisfaire � un concours pour l'obtention d'un certificat d'aptitude au transport en commun et en ce qui concerne les v�hicules retirer de la circulation tout v�hicule de transport de personnes ayant d�pass� 10 ans depuis la premi�re ann�e de mise en circulation pour les v�hicules de plus de 9 places et 15 ans pour les v�hicules � marchandises de plus de 3 500 kg. Et puisqu'on parle v�hicules, nombre de v�hicules et accidents de la circulation et � l'occasion du sommet de Copenhague, ne peut-on pas diminuer le nombre de v�hicules qui circulent journellement en adoptant le syst�me �rig� en Europe du pair-impair ? il y a tellement de gens qui d�ambulent en voiture sans aucun but ni activit� en consommant de l'�nergie et polluant l'atmosph�re. Et les autres domaines de la r�glementation, celle qui concerne la vie de tous les jours du citoyen, celle qui r�git son quotidien et son espace vital qu'il voit s'amenuiser chaque jour comme une peau de chagrin d'abord son droit le plus �l�mentaire tel qu'avoir des papiers qui est devenu on�reux en argent, en temps et surtout en patience, pour aller les chercher il ne trouve plus de trottoirs pour marcher car ils ont �t� usurp�s par les marchands de chiffons et autres chinoiseries, il ne peut circuler en voiture car la rue a �t� accapar�e par les m�mes et par des individus arm�s de gourdins et de b�tons et qui vous soutirent de l'argent de force et ce qu'il en reste est bouch� par ceux dont il a �t� question ci-dessus, il a peur d'entrer dans tous ces endroits appel�s bureaux car il sait qu'il va se faire rabrouer et si ce n'est refouler il y passera un bout de temps et il n'y verra que ce que tout �tre humain d�teste, il se sent tr�s fatigu� mais il n'ose pas aller consulter un sp�cialiste et passer toutes les radios qu'il va exiger parce que sa bourse ne le lui permet pas et il ne peut aller � l'h�pital car il n'a pas la force d'y mener une bataille pour un rendez-vous dans des mois ou pour avoir une ordonnance pour des radios chez un priv� et il ne peut plus s'alimenter comme il le d�sire car il n'en a plus les moyens p�cuniaires et il s'en tient au minimum vital c'est � dire la pomme de terre et le pain, la viande est pour lui un lointain souvenir quant aux fruits il a entendu dire qu'ils viennent des tropiques, que l'orange vient d'Espagne et il n'ose pas s'en approcher (par pudeur ? par dignit� ? par haine ?) et quand arrive le soir il se met devant la t�l�vision en priant qu'il y ait un discours nouveau ou une annonce de changement ou la moindre retouche dans cette hydre � sept t�tes qu'est cette bureaucratie et qu'il y ait enfin la moindre brise annonciatrice d'un air frais mieux respirable, or devant cette lucarne �unique� en son genre il voit quelqu'un qui lit des pages et des pages de textes et de chiffres que personne n'a le temps de lire et encore moins de comprendre avec un fond sur des immeubles, sur des champs, sur le d�sert, sur des groupes de danses et il voit des femmes pousser des youyous et des gens se distribuer les uns les autres des dipl�mes et m�dailles sans jamais rien savoir � quoi cela rime, et des r�unions �internationales� qui se tiennent toutes en Alg�rie (aux frais des Alg�riens) mais dont il n'a jamais compris ni l'utilit�, ni la n�cessit�, ni l'impact sur la vie du citoyen et alors il se pose la question de tous ces milliards jet�s � tort et � travers, m�me pour lire ces informations qui n'int�ressent personne, alors que des millions de citoyens sont dans le besoin d'ingurgiter un repas, un seul repas par jour �avec 3 l�gumes et 2 fruits� sans viande, tant pis et ces gens qui orchestrent toute cette mise en sc�ne, ne cherchent m�me pas � savoir qui la regarde et qui y croit et ils n'ouvriront pas les yeux pour regarder et voir la r�alit� qui les entoure, cet oc�an de col�re qui d�ferle et va les emporter ? Toute leur vie se r�sume a un seul mot : le pillage. Mais un jour la main de la justice s'abattra sur eux et ils conna�tront la �descente aux enfers� et verront la d�ch�ance les ballotter eux et leurs familles et si ce n'est la ge�le qu'ils ont pu fuir ils passeront le reste de leur vie hors de ce pays et seront des apatrides. Donc ces gens-l�, il faut les �carter du service public qu'ils n'ont jamais su g�rer, il faut qu'ils rendent compte de ce qu'ils poss�dent et comment l'ont-ils eu, il faut qu'ils �rendent gorge� et paient tous les m�faits qu'ils ont commis. D'ailleurs la machine s'est mise en route ces jours-ci et elle ne fait que monter en hauteur. Et en attendant, quelles solutions ? quelles r�formes pour all�ger la vie pour ne pas dire la souffrance et le martyre du citoyen ? Il y en a, et n'ayons pas honte de le dire, que certaines sont import�es mais on peut les adopter en les adaptant et on arrivera � sortir du cancrelat dans lequel ces gestionnaires �� la vas-y que je te pousse� veulent nous maintenir en nous promettant une pi�ce d'identit�... dans 2 ans, rien que �a ! Des solutions ont �t� propos�s ci- dessus, elles pourrait �tre adopt�es dans une circonscription g�ographique donn�e sous la surveillance de sp�cialistes d'organismes de recherches, de l'universit� et de professionnels praticiens de la branche qui en �tudierait la faisabilit�, la fiabilit�, la p�rennit� et la rentabilit�. Ce qui s'appelle responsabiliser les sp�cialistes et les organismes qui ont �t� cr�es � cet effet et lancer la recherche et la cr�ativit� et en m�me temps laisser libre cours � l'initiative et le droit d'ing�rence de la soci�t� civile au lieu de cantonner toute initiative � quand il y en a une � � un groupe restreint enferm� dans un bureau loin de toute r�alit� et de toute consultation et avis des int�ress�es par la d�marche ce qui a donn� dans un pass� tr�s r�cent des lois qu'on a vu � application et un r�glement ou plus une circulaire dont on a mesur� l'inanit� et les cons�quences dans l'application. D�autres solutions peuvent �tre propos�es, � l'aube de cette nouvelle ann�e et qui co�ncideraient avec les changements qu�on nous annonce, c�es-�-dire avec la sortie du carcan qui a r�gi toute notre existence et la venue d�hommes tourn�s vers la gestion scientifique et non occuper des fauteuils sur la base d�un h�ritage ou d�une d�sh�rence. K. K.