Une ann�e apr�s leur renouvellement, les instances sportives nationales passent � une nouvelle �tape en organisant leurs AGO. Les premiers mois de la vie interne de chaque instance se sont d�roul�s dans un calme apparent, n� de la n�cessaire p�riode d�acclimatation accord�e par la composante des f�d�rations aux staffs dirigeants. Aussi, cette �p�riode de gr�ce� semble prendre fin, comme en t�moignent les crises internes larv�es qui �clatent au grand jour et dont les effets sont de plus en plus r�percut�s par les m�dias. Cet �talage public du �linge sale� a de quoi d�soler et inqui�ter le simple quidam observateur et le sportif �m�rite. Sans se voiler la face, il faut avouer que c��tait, c�est et ce sera le d�cret 405�05 relatif au fonctionnement des f�d�rations sportives qui �entretient � cette situation conflictuelle dont les uns veulent faire un paravent et les autres un justificatif pour leur r�bellion. Zoom. Les lendemains sereins de l�intronisation du staff dirigeant du COA qui se veut le parrain des f�d�rations sportives olympiques ou non ne semblent pas calmer certaines esprits quant � leurs desseins loin d��tre �assagis� par le temps qui s�est �coul� depuis une ann�e. A la lecture de certains comptes rendus de conclaves, � l��coute de quelques animateurs de ces instances, il en ressort que l��re des �coups d�Etat�, des magouilles de coulisses, des d�nonciations calomnieuses gratuites, des envies de certains apparatchiks de revenir au �koursi� qu�ils ont quitt� par la force r�glementaires est de retour en Alg�rie. Pour v�rifier cette r�alit�, il n�y a qu�� faire une halte analytique � certains conclaves. C�est par la �petite reine�, le cyclisme pour les non-initi�s, que tout a commenc�. La FAC a perdu son latin et ses dipl�mes depuis le jour o� les membres de l�AG ont jet� leur d�volu sur la nouvelle �quipe f�d�rale pr�sid�e par Rachid Fezouine. La contestation a vu le jour quelques semaines plus tard et ce, de m�che avec la pression exerc�e par l�UCI qui a contest� le d�roulement de cette assembl�e �lective. Les r�serves des membres de l�AG ont trait � des affaires internes d�une extr�me gravit� devant lesquelles la tutelle fait la muette. Pourquoi ? On en saura peut-�tre plus un jour. La balle au panier, le basket-ball, n�est pas en reste puisqu�elle a essay� de monter le plus haut possible avant de chuter lourdement car se retrouvant sans guide mais nageant � contre courant de la r�alit� r�glementaire. Faut-il n�gliger la situation de blocage que vit la F�d�ration des sports a�riens dont le pr�sident a rendu le tablier sans que personne ne se soucie du sort de cette pratique dite mineure ? Ce n�est pas fini car le volley-ball a failli faire dans l�imitation aveugle lorsqu�un �perdu de vue� voulait se �replacer�. La m�canique semble �gripp�e� au sein de l�instance qui g�re les �quipages automobiles alors que la calme qui pr�vaut dans la discipline du karat�do s�est dilu� dans une terrible tourmente. Ceci au moment o� le monde de l�escrime est en perp�tuel conflit aliment� par les nostalgiques du �fauteuil dor�. Dans ce d�sordre, il y a lieu de noter les nuages passagers qui troublent le ciel de la petite balle qui malgr� les r�cents exploits au Caire reste un foyer susceptibles de conna�tre des secousses engendr�es par d���ternels parrains� en qu�te de gloire. La liste des f�d�rations frapp�es par le syndrome des coups d�Etat n�est pas exhaustive. D�autres �cocottes� sont en train de chauffer et risquent d�exploser � tout moment.