La Directrice adjointe d'Amnesty international semble s'être trompée de société. En effet, Magdalena Mughrabi demande aux autorités algériennes de «cesser d'engager des poursuites judiciaires contre des manifestantes pacifiques et respecter l'indépendance de la justice». A croire que les manifestations populaires font l'objet d'une répression féroce de la part des services de sécurité.