Lutter contre les Iraniens et les Palestiniens et militer pour Israël, est la politique menée par le président américain, applaudi par les Emirats, l'Arabie saoudite et le Bahreïn. Le président américain est en guerre contre les Iraniens et les Palestiniens. Il a rompu l'accord avec Téhéran, fermé le bureau de l'OLP à Washington, reconnu El Qods occupé capitale d'Israël, et envoie du renfort militaire près de l'Iran. Il y a quelques jours, le président américain a dénoncé les Palestiniens pour les bombardements lancés par Israël. Le président américain est contre les Palestiniens et le revendique. Cela n'a pas empêché certains pays comme les Emirats, l'Arabie saoudite et le Bahreïn, de l'applaudir et même de lui faire allégeance. Le président américain impose des sanctions contre l'Iran, et envoie les renforts militaires dans la région, pour obliger Téhéran à négocier. L'Iran refuse la négociation, avec un président américain qui ne respecte pas les musulmans, et qui œuvre à la lutte contre les Palestiniens et les civils au Yémen. «Les Américains croient pouvoir intimider, par le biais d'un cumul de menaces militaires et de sanctions économiques, la nation iranienne, et forcer les responsables iraniens à s'engager dans des négociations avec les Etats-Unis», a souligné Yadollah Javani, commandant adjoint du CGRI pour des affaires politiques, cité par l'agence de presse iranienne Tasnim. «Trump imagine que les sanctions, nouvellement adoptées contre l'Iran, auront pour effet de provoquer des bouleversements à l'intérieur du pays, et de contraindre les responsables Iraniens de négocier en fin de compte, avec les Etats-Unis, mais cela ne s'est pas produit», a-t-il précisé. L'Iran rejette l'appel de Trump aux négociations, après avoir renoncé à l'accord nucléaire signé en 2015, entre l'Iran et les 5+1, y compris les Etats-Unis. «Les responsables américains souffrent d'un désordre dans leurs pensées. Ils utilisent tous les moyens pour forcer Téhéran à accepter de négocier sous-pression, et briser 40 ans de résistance de la nation iranienne menée par le Leader de la République islamique», a-t-il remarqué, en évoquant l'envoi des renforts américains, dont le porte-avions Abraham Lincoln dans le golfe Persique, ainsi que la décision de Washington de placer le CGRI sur la liste des organisations terroristes. «La décision de Téhéran de suspendre, d'une manière graduelle, ses engagements pris dans le cadre du PGAC, prouve que la nation iranienne a choisi de faire preuve de résistance face aux désengagements des Occidentaux», a-t-il conclu. La politique hostile lancée par le président américain est encouragée par certains pays, dont les Emirats, l'Arabie saoudite et le Bahreïn. Ces pays aplaudissent la guerre que Washington cherche à lancer contre l'Iran. Les Emirats, l'Arabie saoudite et le Bahrein continuent à coopérer avec le président américain contre l'Iran, malgré la politique contre les Palestiniens menée par Washington.