De nombreux civils ont été tués au Yémen par la coalition arabe dirigée par l'Arabie saoudite, notamment durant le mois sacré du Ramadhan, et aucun de ces pays n'a dénoncé les crimes. La guerre au Yémen continue, notamment durant le mois du Ramadhan. L'Organisation de la conférence Islamique, la Ligue arabe et les pays du Golfe en conclave à la Mecque, n'ont pas dénoncé les crimes commis par la coalition arabe. La guerre au Yémen, lancée en mars 2015 par la coalition arabe dirigée par l'Arabie saoudite durant notamment le mois sacré du Ramadhan, n'a pas été dénoncée par les pays de l'Organisation Islamique, ni par ceux de la ligue arabe, et ni ceux des pays du Golfe. Certains de ces pays ont fait allégeance à l'Arabie saoudite contre l'Iran, mais n'ont pas dénoncé les crimes de guerre commis contre les civils au Yémen. De nombreux civils ont été tués au Yémen par la coalition arabe dirigée par l'Arabie saoudite, notamment durant le mois sacré du Ramadhan, et aucun de ces pays n'a dénoncé les crimes. Certains de ces pays applaudissent la politique hostile aux musulmans, lancée par le président américain, qui œuvre pour l'annulation des droits des palestiniens pendant la conférence du Bahrein. Celle-ci, initiée par Washington, consacre la colonisation des terres palestiniennes par Israël, et refuse d'accorder aux palestiniens les droits consacrés par la justice. Nombre de pays musulmans optent pour la politique hostile lancée par le président américain contre les musulmans, dont les palestiniens et les iraniens. Le caractère sacré du mois du Ramadhan n'a pas été respecté par les pays qui applaudissent la politique hostile aux musulmans, lancée par le président américain. L'allégeance de certains pays musulmans à l'Arabie saoudite contre l'Iran, n'est pas dans l'intérêt des palestiniens qui refusent la conférence du Bahrein. Les Palestiniens ne cessent de réaffirmer leur rejet du plan de paix que les Etats-Unis comptent présenter prochainement, lors d'une conférence à Bahreïn, y voyant «une contre-partie financière en échange de l'acceptation de l'occupation israélienne», appelant «tous les pays» à boycotter la rencontre de Manama. Les Etats-Unis s'apprêtent à dévoiler, les 25 et 26 juin prochains, lors de la conférence à Bahreïn, le volet économique du projet, que le président Donald Trump veut présenter comme l'«Accord du siècle», dont le contenu politique n'a toujours pas été annoncé. Le qualifiant plutôt de «la claque du siècle», le président de l'Etat de Palestine, Mahmoud Abbas, cité par l'APS, a réitéré ces derniers jours, le rejet des Palestiniens du plan de paix au Moyen-Orient, et de la conférence qui lui sera dédiée à Manama. «Ils nous vendent des chimères qui ne nous mèneront nulle part. Nous n'avons pas besoin de leur aide, parce' que notre peuple est capable de construire son propre Etat», a-t-il déclaré lundi dernier dans son bureau de Ramallah (Cisjordanie). «Quiconque veut résoudre la question palestinienne doit la résoudre politiquement», a martelé M. Abbas, avant d'ajouter: «Notre cause progresse pas à pas, jusqu'à ce que nous parvenions à la création d'un Etat palestinien indépendant, avec EL-Qods pour capitale». Les relations entre les dirigeants palestiniens et les Etats-Unis ont cessé, après que le président Trump ait reconnu El-Qods comme «capitale» d'Israël, en décembre 2017. Et en mai 2018, l'ambassade des Etats-Unis a déménagé de Tel Aviv à El-Qods occupé.