La commission de discipline de la Confédération africaine de football a rejeté la plainte déposée par les dirigeants du Raja Casablanca à l'encontre de l'ES Sétif, le 2 mai dernier. Après avoir étudié le dossier du match ESS-Raja comptant pour les 8es de finale de la Ligue des champions africaine et remportée par les Sétifiens aux tirs au but, la CAF n'a pas donné suite à la plainte du Raja de Casablanca. Le club marocain a été destinataire d'une correspondance de la CAF, signée par le secrétaire général Lamrani, où il est mentionné que toutes les conditions nécessaires au bon déroulement de la rencontre étaient réunies et que c'est le président du Raja Boudrika qui a enfreint les règles en descendant sur le terrain en deuxième mi-temps pour prendre place sur le banc alors qu'il avait suivi la première mi-temps à partir de la tribune officielle. Concernant la supposée maltraitance des supporters marocains par le service d'ordre du stade 8-Mai-45, il a été établi, après étude de toutes les pièces, que ce sont les supporters du Raja qui avaient provoqué les agents du service d'ordre algérien. Tous ces détails de la correspondance de la CAF ont été publiés, mardi 12 mai, sur le site officiel du Raja de Casablanca avant que les responsables du site ne décident de les supprimer.