La presse marocaine continue de se déchainer sur les incidents ayant émaillé la rencontre qui a opposé l'ES Sétif au Raja de Casablanca vendredi passé au stade du 08 mai 1945. Une rencontre sanctionnée par une qualification sétifienne bien méritée en phase de poule de la Ligue des Champions africains. Le président club du Raja Mohamed Boudrika a déposé, selon cette même presse, une plainte auprès de la CAF accusant la police algérienne d'avoir frappé violemment des supporters marocains. Tout comme il accuse les dirigeants ententistes d'avoir bousculé et insulté leurs homologues marocains. Et pourtant, on comptait plus les provocations des Casablancais émanant des dirigeants, des joueurs dans la main courante dont le n°7 qui a bousculé un enfant (chercheur de balle) et même de certains journalistes à l'image de ce Noufel Awalma (Medi TV) qui n'a pas manqué de tirer sur tout ce qui bouge dans le but de réussir un scénario prémédité montrant le RAJA dans la peau d'une victime et faire oublier, par la même, aux fans du club les contre performances enregistrées cette saison. Aussi, il faut revenir aux images retransmises en direct par la télévision pour voir la galerie marocaine mitrailler la pelouse et le service d'ordre par ces brûlantes bombes de fumigènes interdites par la FIFA. La situation devait d'ailleurs se détériorer à la fin des tirs de penalty qui a sourit à l'ESS et engendré l'ire des fans marocains qui voulaient visiblement investir le terrain pour s'en prendre à leur joueurs et dirigeants pour cette amère élimination. Alors pour chercher le véritable coupable de la débâcle du club de Casablanca qui a perdu tous ses objectifs cette saison, il faut tout simplement chercher ailleurs messieurs les dirigeants Rajaouis !. paru aujourd'hui sur Le Jeune Indépendant