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Instaurés «clandestinement» dans le pays: Les «tribunaux islamiques» inquiètent l'Angleterre
Publié dans Le Temps d'Algérie le 11130

Les autorités britanniques expriment leur inquiétude quant à l'instauration de «tribunaux islamiques informels» dans le pays.
Une enquête indépendante est lancée pour connaître l'ampleur de ce «phénomène». Les autorités britanniques craignent que les «tribunaux islamiques informels», fonctionnant dans le pays et appliquant la charia, ne créent une forme de justice parallèle.
Dans le cadre de la nouvelle stratégie contre l'extrémisme, une enquête indépendante a été lancée en Angleterre pour établir à quel degré les pratiques des «tribunaux islamiques» fonctionnant dans le pays correspondent à la législation nationale, a indiqué la ministre britannique de l'Intérieur, Theresa May. «Des femmes auraient été victimes de décisions discriminatoires de la part de conseils religieux appliquant la charia (loi islamique, ndlr), ce qui est notre préoccupation majeure», a indiqué Mme May dans un communiqué repris par la presse britannique.
D'après la ministre, cette enquête indépendante ordonnée par le gouvernement devra déterminer s'il existe une forme de justice parallèle dans certaines villes d'Angleterre et du Pays de Galles. «Il n'y a qu'un seul Etat de droit dans notre pays, qui donne des droits et des garanties à chacun des citoyens», a-t-elle souligné.
Des dizaines de tribunaux islamiques fonctionnent en Grande-Bretagne, essentiellement pour arbitrer des conflits familiaux, sans toutefois posséder de reconnaissance légale.
Le gouvernement souhaite savoir si la charia est dévoyée ou instrumentalisée, et si oui, dans quelle mesure afin d'adopter ensuite les mesures qui s'imposent. L'enquête engagée sera terminée l'année prochaine.
L'Angleterre est connue pour sa «tolérance» parfois exagérée envers les extrémistes dans les années 1990.
Des publications du groupe islamique armé (GIA) dont «Al Ançar» étaient disponibles et non interdites dans ce pays, même quand cette organisation revendiquait des attentats en Algérie.
Des rassemblements d'extrémistes, partisans du GIA étaient tolérés à Londres.
Il a fallu que les extrémistes s'en prennent aux USA avec les attentats du 11 septembre 2001 et que Daech attaque Paris et la Belgique pour que l'Angleterre comprenne que les extrémistes qui dénaturent le vrai Islam (religion de paix et de tolérance) sont des criminels qui attaquent tous ceux qui ne sont pas d'accord avec leur «idéologie».
Les extrémistes avaient transformé une grande place publique à Londres en un lieu où des prêches radicaux étaient prononcés en faveur des attentats en Algérie, en Syrie et dans les pays qui les combattent.
Des fichiers de terroristes présumés supprimés par erreur
A chaque jour suffit sa bavure : les services de renseignement britanniques ont supprimé par erreur les fichiers de 800 terroristes présumés, d'après le journal The Telegraph. Il s'agit en fait des empreintes digitales et des profils génétiques de 800 terroristes présumés, ce qui constitue un dixième de toutes les données stockées dans la base.
Les informations supprimées jouaient un rôle clé dans les enquêtes, rappelle le journal. La cause de cette bavure administrative reste à préciser. Il est probable que les fichiers ont été supprimés suite à une gestion incorrecte des données stockées. La perte de ces données, souligne le quotidien, est survenue à un moment inopportun, le Royaume-Uni étant plus que jamais confronté à la menace terroriste.


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