La directrice de l'institut d'éducation physique de Sidi Abdallah a récemment porté plainte contre le quotidien El Khabar pour un article qu'elle a jugé diffamatoire pour sa personne et attentatoire à la réputation de l'établissement qu'elle dirige. Le problème est que l'avocate qui la représentait à l'audience ne connaissait même pas le nom du journaliste qui avait écrit l'article en question. Alors qu'il parlait du journaliste… «K», la présidente du tribunal de Bir Mourad Raïs a été obligé de reporter l'audience et de s'adresser à l'avocate en ces termes : «La moindre des choses est de connaître le nom de son adversaire !»