Le commissaire européen chargé de l'énergie, Oettinger Günther, a conditionné le financement du projet d'«intégration progressive des marchés de l'électricité de l'Algérie, du Maroc et de la Tunisie dans le marché intérieur de l'électricité de l'Union européenne» (IMME) par la mise en place d'autorités de régulation des marchés de l'énergie «indépendantes des pouvoirs politiques» dans chacun des pays maghrébins, comme c'est le cas en Tunisie et au Maroc. L'Algérie, par contre, possède déjà cette autorité de régulation en la commission de régulation de l'électricité et du gaz (Creg).