Votre enfant est attiré par le sport ? Saisissez cette opportunité de le voir s'engager personnellement dans la pratique sportive. Aidez-le et… suivez-le de relativement près. Laissez-le choisir son sport C'est primordial et vous préserverez ainsi sa motivation comme… vos relations futures ! Agissez discrètement mais de manière positive : un conseil à bon escient fera toujours son petit effet. Incitez-le à panacher les disciplines. Par exemple vers 12-13 ans, alternant des sports collectifs et individuels. Ainsi développera-t-il endurance, souplesse, adresse et vitesse. Mais aussi son sens des relations sociales. Faites-en un jeu. Il reste un enfant. Veillez à ce que le sport conserve son côté ludique. Et qu'il soit avant tout source de plaisir. Ne vous comportez pas comme un sélectionneur Le plaisir et le jeu demeureront si vous ne le «poussez» pas à l'excès. Et n'abusez pas des surclassements. Combien d'enfants – filles ou garçons – ont été «cassés» par des entraînements au rythme aberrant ! Bien sûr, un bon suivi médical est indispensable Une fois l'an, prévoyez une consultation chez son médecin traitant. En pleine connaissance de son terrain personnel et familial, il saura déterminer son niveau d'aptitude… Enfin si votre enfant souffre d'asthme, ne l'empêchez pas de faire du sport, bien au contraire. La natation ou la course à pied réduisent les symptômes de la maladie. L'enfant asthmatique peut, et même doit pratiquer presque tous les sports. A telle enseigne que bon nombre de champions sont asthmatiques ! L'essentiel est d'apprendre à maîtriser son souffle. De connaître les critères de choix du «bon» sport et d'acquérir les techniques de préparation à l'exercice physique.