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La Coordination pour le changement et la démocratie maintient son cap L'interdiction des marches à Alger a été réitérée par le président de la République
Malgré l'interdiction des marches dans la capitale, réitérée par le président de la République, et les mesures annoncées qui figurent parmi la longue liste de ses revendications, la coordination pour le changement et la démocratie (CNCD) a décidé de maintenir la marche du 12 février «dans tous les cas de figure». C'est le consensus qui a été trouvé hier, lors d'une énième réunion de cette «organisation» créée le 21 janvier dernier dont la demande introduite auprès de la wilaya d'Alger «doit être reformulée», selon Mustapha Bouchachi de la Ligue algérienne de défense des droit de l'homme (LADDH». «Même en cas de levée de l'état d'urgence, de changement de gouvernement ou encore de non-autorisation, on va marcher le 12 février», a insisté un des membres de la coordination. Pour les initiateurs de cette action, les mesures prises par le président sont destinées à «diviser» le mouvement naissant, «le 12 sera le début d'une longue contestation.» Une autre demande d'autorisation sera introduite aujourd'hui, indique-t-on.