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Au FBI, on peut vendre des armes, mais pas voler une cravate
Publié dans Le Temps d'Algérie le 16 - 02 - 2011

CNN a obtenu des documents internes du FBI qui résument les actions disciplinaires prises contre ses agents depuis 2008, où l'on apprend notamment qu'un employé a divulgué des informations confidentielles à sa petite amie journaliste, avant de la menacer de publier leur sex tape au moment de la rupture...
Les rapports sont compilés par le Bureau de la responsabilité professionnelle du FBI et envoyés tous les trimestres aux employés, «comme un espèce d'avertissement», interprète Gawker, mais ils ne sont pas mis à la disposition du grand public. Le FBI a confirmé à CNN qu'entre 325 et 350 employés sont la cible d'une action disciplinaire par an, depuis la simple réprimande jusqu'à la mise à pied, et qu'environ 30 personnes sont licenciées chaque année, sur un total de 34 300 salariés :
«Nous avons une politique de tolérance zéro. Nous ne tolérons pas que nos employés se conduisent mal. Nous attendons d'eux qu'ils se comportent selon les standards de conduite imposés à tous les employés du FBI. Cela ne veut pas dire que nous licencions tout le monde. Vous savez, nos employés sont humains, comme nous tous. Nous faisons tous des erreurs (...) Quand c'est approprié, nous décidons de licencier un employé.
Quand nous pensons qu'il ou elle peut être réhabilité et qu'il ou elle mérite une deuxième chance, c'est ce que nous faisons.» Mais les décisions disciplinaires du FBI sont parfois très surprenantes. Par exemple, un employé qui avait volé deux cravates dans une boutique a été licencié. Mais un autre qui possédait et vendait illégalement des armes de gros calibre n'a écopé que de 60 jours de suspension. Un employé qui a eu des relations sexuelles régulières avec une de ses sources, mettant ainsi en danger des enquêtes en cours et marquant la fin de la relation entre l'informateur/trice et le FBI,
a été suspendu pour 40 jours. Mais celui ou celle qui a fumé de la marijuana plusieurs fois (et pris de la cocaïne une fois) a été licencié. Le FBI ne semble pas non plus considérer la violence contre les femmes comme une faute grave. Un employé ivre a eu un accident de la route. Il a refusé qu'on lui mesure son taux d'alcoolémie, et alors que le personnel hospitalier essayait de le maîtriser, il a tenté de donner un coup de poing à une infirmière. Sanction : 60 jours de suspension.
Lors d'une dispute, un autre a balancé un téléphone sur sa femme, blessée au point de devoir être vue par un médecin. Sanction : 45 jours de suspension. Le comportement sanctionnable n'est pas le seul pris en compte dans ces situations, note la directrice adjointe du FBI. L'agence prend également en compte la réaction de l'employé à l'enquête administrative : s'il y a tentative de dissimulation, le risque d'être licencié est d'autant plus grand.


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