Retenu pour la première fois en sélection algérienne, Brahim Ferradj verra le nouveau stade de Marrakech, le 4 juin prochain. Il ne cache pas sa joie d'être convoqué par le sélectionneur national Abdelhak Benchikha Brahim, le sélectionneur Abdelhak Benchikha vient de vous convoquer pour le choc du 4 juin prochain face au Maroc. Quelles sont vos premières pensées ? C'est une grosse satisfaction. Cela représente quelque chose de fort. Je suis fier, car ma famille est animée d'un sentiment de joie. C'est presque la fête à la maison… Lors de la défaite face à l'OM (3-0), Abdelhak Benchikha était venu vous voir au Vélodrome. Vous avait-il annoncé votre sélection ? Non, pas vraiment. Je sentais que c'était positif. On a discuté de ma manière de jouer. Il voulait notamment savoir si je pouvais jouer sur le côté droit. Car actuellement, j'évolue sur le côté gauche avec Brest. Quand l'avez-vous appris officiellement ? J'ai des membres de ma famille qui m'ont appelé les jours précédents en me disant que ça devrait être bon, car la presse algérienne m'annonçait dans la liste à venir. Mais pour ma part, rien ne vaut une notification officielle. Elle est arrivée hier, c'est Corentin Martins (directeur sportif du Stade Brestois, Ndlr) qui m'a dit qu'elle était sur son bureau. On suppose que vous auriez aimé vous retrouver face à votre coéquipier Ahmed Kantari, lors de cette rencontre… Oui, mais plus que ce match, je suis vraiment embêté pour lui. Sa blessure au tendon d'Achille est ennuyeuse. J'espère qu'il va revenir à son niveau.