Le président du front pour la justice et le développement (FJD) (en cours de constitution) M. Abdallah Djaballah a appelé vendredi à Alger à la consécration du principe de 'l'équilibre des prérogatives "entre les pouvoirs lors du prochain amendement constitutionnel. M. Djaballah a indiqué, dans son allocution d'ouverture du congrès constitutif du parti, que le FJD soutenait tout effort en faveur "d'une véritable démarche démocratique" basée sur "un réel équilibre" et la séparation des trois pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire) et ce, à la faveur du prochain amendement constitutionnel, a-t-il précisé. L'intervenant a salué les réformes politiques entamées par l'Algérie, dans l'esprit d'asseoir un système démocratique pluraliste. Cette démarche demeure, selon M. Djaballah, "insuffisante requérant davantage de mesures". Il a, dans ce sens, appelé à l'introduction de "réformes supplémentaires" sur la loi organique relative au système électoral et à "la reconsidération" des critères de régulation de l'assiette électorale. Il a estimé que le FJD à l'instar des autres partis en constitution ne "disposent pas d'assez de temps" pour se préparer aux prochaines législatives prévues le 10 mai prochain, les délais étant, selon lui, "courts". Pour M. Djaballah, son parti ambitionne d'arriver au pouvoir comme tout autre parti "non pas pour se partager les rentes mais pour l'édification et la réforme auxquelles il croit". Evoquant les grandes lignes de son programme, il a déclaré que son parti était "une formation politique réformiste globale ouverte aux hommes de bonne volonté parmi les enfants de cette nation au service de la paix, de la patrie et du peuple". Pour M. Djaballah, son parti "s'engage à préserver le pays de toute menace qu'elle vienne de l'intérieur ou de l'extérieur", soulignant que "quels que soient les conflits il doivent être réglés de l'intérieur sans recourir à l'extérieur" qui demeure, a-t-il dit, "l'ennemi qui ne cherche que ses intérêts". Le FJD, a-t-il ajouté est "un plus" qui peut apporter beaucoup de choses" à l'Algérie que ce soit au plan de sa "protection" ou de son développement", soulignant que sa formation "respecte toutes les forces politiques" présentes sur la scène, exprimant la disponibilité de son parti à "coopérer avec tous dans l'intérêt du pays". Le front est "un espace ouvert à ceux disposés à adopter son projet et à respecter ses règlements (..). Il ne s'intéresse pas à leur passé mais bien à leur présent et leur avenir", a encore soutenu M. Djaballah. M. Djaballah a, par ailleurs, appelé à "achever" les dispositions de la réconciliation nationale" afin de remédier au sentiment d'injustice et de marginalisation d'une frange importante de la société algérienne dans le but de consacrer le rétablissement de la paix et de la sécurité dans le pays", a-t-il dit. Au plan économique, l'intervenant a affirmé que son parti "veillera à la réalisation d'un développement qui privilégie la diversification du produit national", tout en "déplorant" la dépendance, 50 ans après l'indépendance, des recettes de l'Algérie des hydrocarbures. Aux plans régional et international, M. Djaballah a prôné "l'activation" des dispositifs de l'Union pour la Maghreb Arabe (UMA) au service des peuples de la région. Il a également exprimé le soutien de son parti aux révolutions arabes contre ce qu'il a qualifié de "régimes despotiques". Partis Djaballah appelle à la consécration du principe de "l'équilibre des pouvoirs" lors du prochain amendement constitutionnel Le président du front pour la justice et le développement (FJD) (en cours de constitution) M. Abdallah Djaballah a appelé vendredi à Alger à la consécration du principe de 'l'équilibre des prérogatives "entre les pouvoirs lors du prochain amendement constitutionnel. M. Djaballah a indiqué, dans son allocution d'ouverture du congrès constitutif du parti, que le FJD soutenait tout effort en faveur "d'une véritable démarche démocratique" basée sur "un réel équilibre" et la séparation des trois pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire) et ce, à la faveur du prochain amendement constitutionnel, a-t-il précisé. L'intervenant a salué les réformes politiques entamées par l'Algérie, dans l'esprit d'asseoir un système démocratique pluraliste. Cette démarche demeure, selon M. Djaballah, "insuffisante requérant davantage de mesures". Il a, dans ce sens, appelé à l'introduction de "réformes supplémentaires" sur la loi organique relative au système électoral et à "la reconsidération" des critères de régulation de l'assiette électorale. Il a estimé que le FJD à l'instar des autres partis en constitution ne "disposent pas d'assez de temps" pour se préparer aux prochaines législatives prévues le 10 mai prochain, les délais étant, selon lui, "courts". Pour M. Djaballah, son parti ambitionne d'arriver au pouvoir comme tout autre parti "non pas pour se partager les rentes mais pour l'édification et la réforme auxquelles il croit". Evoquant les grandes lignes de son programme, il a déclaré que son parti était "une formation politique réformiste globale ouverte aux hommes de bonne volonté parmi les enfants de cette nation au service de la paix, de la patrie et du peuple". Pour M. Djaballah, son parti "s'engage à préserver le pays de toute menace qu'elle vienne de l'intérieur ou de l'extérieur", soulignant que "quels que soient les conflits il doivent être réglés de l'intérieur sans recourir à l'extérieur" qui demeure, a-t-il dit, "l'ennemi qui ne cherche que ses intérêts". Le FJD, a-t-il ajouté est "un plus" qui peut apporter beaucoup de choses" à l'Algérie que ce soit au plan de sa "protection" ou de son développement", soulignant que sa formation "respecte toutes les forces politiques" présentes sur la scène, exprimant la disponibilité de son parti à "coopérer avec tous dans l'intérêt du pays". Le front est "un espace ouvert à ceux disposés à adopter son projet et à respecter ses règlements (..). Il ne s'intéresse pas à leur passé mais bien à leur présent et leur avenir", a encore soutenu M. Djaballah. M. Djaballah a, par ailleurs, appelé à "achever" les dispositions de la réconciliation nationale" afin de remédier au sentiment d'injustice et de marginalisation d'une frange importante de la société algérienne dans le but de consacrer le rétablissement de la paix et de la sécurité dans le pays", a-t-il dit. Au plan économique, l'intervenant a affirmé que son parti "veillera à la réalisation d'un développement qui privilégie la diversification du produit national", tout en "déplorant" la dépendance, 50 ans après l'indépendance, des recettes de l'Algérie des hydrocarbures. Aux plans régional et international, M. Djaballah a prôné "l'activation" des dispositifs de l'Union pour la Maghreb Arabe (UMA) au service des peuples de la région. Il a également exprimé le soutien de son parti aux révolutions arabes contre ce qu'il a qualifié de "régimes despotiques".