Le journal français Le Figaro, citant hier une des personnes retenues sur un site BP à In Amenas en Algérie, décrit les circonstances de la prise d'otages. «Les terroristes nous ont dit qu'ils avaient miné la base», a indiqué le témoin joint par téléphone. Ce dernier affirme que 400 personnes sont retenues sur un des sites gaziers d'In Amenas, au sud-est d'Alger à la frontière avec la Libye. Il aurait déclaré aussi que «les assaillants étaient équipés de lance-roquettes». D'autres sources affirment aussi que 150 employés algériens de la filiale Cieptal sont actuellement retenus sur le site du consortium de BP. Ils n'ont pas le droit de sortir de la base».