Pour le parti communiste français (PCF), «François Hollande, devant le Parlement algérien, a fait en termes mesurés un pas en avant dans la reconnaissance de la vérité sur le colonialisme français en Algérie, en rappelant les violences, les massacres et les tortures qui ont marqué la politique coloniale». «Même s'il est nécessaire de dire que la France reconnaît les souffrances infligées au peuple algérien par la colonisation, François Hollande n'est cependant pas allé au bout de ce qu'il fallait faire: reconnaître la responsabilité de la France dans les crimes d'Etat et les pratiques inhumaines qui ont caractérisé ce que fut la politique coloniale», a nuancé le PCF. «C'est bien de responsabilité historique dont il s'agit et non de -repentance-», relève le Parti communiste, ajoutant que «François Hollande a fait la moitié du chemin nécessaire».