en session extraordinaire, a chargé le bureau national du parti de poursuivre la concertation avec les candidats et parties politiques afin de dégager un candidat consensuel pour la présidentiele du 17 avril prochain, d'autres options, au cas où un tel candidat n'émergera, seront envisagées lors d'une session extraordinaire du Conseil, a indiqué dimanche à Alger le président de cette formation, Abdelmadjid Menasra. Lors d'une conférence de presse au siège du parti, M. Menasra a précisé que "l'option de non participation à la présidentielle est exclue", soulignant que "la concertation avec les candidats et parties politiques se poursuit pour dégager un candidat consensuel, la décision finale revenant au Conseil consultatif". "Si les démarches de recherche d'un candidat consensul n'aboutissent pas, d'autres options seront envisagées y compris le soutien d'un des candidats ou encore la particpation à la prochaine échénace par un vote blanc", a-t-il poursuivi. Il a affirmé que plusieurs personnalités politiques et candidats ont été contactés pour débattre de la question sauf que les choses, pour le moment, "ne sont pas claires". Concernant l'annonce samedi de la candidature du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour un 4e mandat, M. Menasra a estimé que "la surprise concerne seulement la manière dont l'annonce a été faite", ajoutant que "le Premier ministre, également président de la commission chargée de l'organisation de l'élection, aurait dû observer la neutralité à ce sujet".