Les examens de baccalauréat 2015, ayant prit fin hier jeudi, ont fait une large polémique chez les observateurs, même les responsables du secteur éducatif. La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit a affirmé que des mesures "coercitives" seront prises à partir de l'année prochaine pour faire face à la fraude via les nouvelles technologies de l'information et de la communication. Il s'agit de "revoir" la méthode d'élaboration et de structuration des sujets, et ce, dès la fin de l'enquête visant à définir, avec précision, le degré de gravité de l'erreur dans le sujet de la langue arabe. A cet effet, une commission a été installée et a "commencé dès maintenant" à prendre toutes les mesures "pratiques et efficaces" en collaboration avec d'autres secteurs pour lutter contre la fraude via les nouvelles technologies notamment les smartphones. 61 candidats ont été exclus le premier jour de l'examen pour fraude.