Les deux superbes cités de Garidi sont en train de perdre de leur... superbe. -La «une»est carrément malmenée par certains résidents qui ne se soucient pas de l'hygiène en balançant les sachets d'ordures. -La cité Garidi II, elle, par la faute des automobilistes de Birkhadem-les Vergers, des Sources, des Annassers, d'El Afia et autres Jolie-Vue, «est devenue un véritable échangeur». La poussière soulevée «par les voitures incommode les habitants et ce n'est pas notre ami Abdou B. qui verserait une larme si cette situation était suspendue par un arrêté des autorités». - A Mohammadia (El Harrach)la plus belle cité (618 logts) est en voie d'être «bidonvillisée» si un coup de main n'est pas donné rapidement ; on nous a même signalé un canidé non vacciné qui risque de mettre en danger la vie des résidents. -Le marché d'El Harracha vu ces derniers mois l'état de sa chaussée se dégrader. Des nids-de-poule, des trous çà et là dénaturent ce qui fut un bel endroit fréquenté par des dizaines de familles. -A Coopemad-El Amel (Kouba), il suffit d'une petite pluie pour que deux véritables mares voient le jour à quatre cents mètres l'une de l'autre par la faute de regards d'évacuation bouchés. A quand une salvatrice intervention? -Quant aux fuitesdes eaux potables (au pluriel SVP) ce n'est faire injure à quiconque que de dénoncer ce phénomène qui commence à bien faire, car cette précieuse eau n'est pas à gaspiller. -Les travauxde goudronnage enfin, gagneraient à être effectués de nuit afin de ne pas gêner la circulation, elle-même dans un état désastreux, au heures de pointe. Et les pauvres agents de l'ordre public ont compris que le nombre de véhicules est cinquante mille fois supérieur à celui des routes, voies rapides, et bretelles réalisées pourtant à un rythme convenable.