Rachid Nekkaz, le candidat à la candidature pour la présidentielle de 2014, fait encore parler de lui. Il s'est engagé à payer toutes les amendes des femmes verbalisées pour port du burkini, a-t-il déclaré à Europe 1. «Je considère que personne n'a le droit en démocratie d'empêcher une personne de porter l'habit de son choix dès lors que cet habit ne représente pas un danger pour la liberté d'autrui ou la sécurité du territoire», a expliqué sur Europe 1 le quadragénaire, qui assure avoir reçu une première demande d'une «jeune femme verbalisée à Cannes». «Je ne crois pas que le burkini soit la meilleure façon de s'intégrer dans la société européenne. Néanmoins il ne couvre pas le visage, contrairement au niqab», a-t-il justifié, lors d'une déclaration accordée à Europe 1.