Facebook a annoncé mercredi restreindre l'usage de sa plateforme Live de vidéo en direct, dont s'est servi le tueur de Christchurch en Nouvelle-Zélande pour diffuser le massacre de 51 personnes dans des mosquées mi-mars. Le réseau social avait été très critiqué pour avoir tardé à interrompre la vidéo, dont des images s'étaient très rapidement répandues sur internet. Le groupe avait alors promis de revoir les conditions d'usage de Live mais sans prévoir de différer les diffusions. Désormais, les utilisateurs enfreignant les règles d'utilisation du réseau social, notamment celles proscrivant les "organisations et individus dangereux", n'y auront plus accès pendant un certain temps, et ce dès la première infraction.