Le président du Conseil national des droits de l'homme (Cndh), Abdelmadjid Zaalani, avait reçu le représentant de l'ONU, Clement Nyaletsossi Voule, chargé du dossier de droit de réunion pacifique et la liberté d'association. Il est à rappeler que la visite du rapporteur spécial des Nations unies s'inscrit dans le sens qui réaffirme le travail des Nations unies pour concrétiser les objectifs qui consacrent les valeurs des droits de l'homme en général et la loi d'une approche sélective et étroite. À ce propos, le Cndh a souligné que « les objectifs de cette visite qui permettra à la partie onusienne d'avoir une idée sur les transformations survenues en Algérie dans le cadre de la protection, du renforcement et de l'organisation de la société civile notamment les associations et leurs relations avec les institutions de l'Etat, à même de servir les libertés dans un cadre légal organisé », a-t-il noté. Le rapporteur spécial des Nations unies sur les droits à la liberté de réunion pacifique et à la liberté d'association, Clément Nyaletsossi Voule, va évaluer « le respect des droits à la liberté de réunion pacifique et à la liberté d'association, y compris le cadre juridique relatif à la liberté de réunion pacifique et à la liberté d'association. ces droits, ainsi que les défis et opportunités pour la protection de ces derniers », rappelle le communiqué. Cette visite se penchera aussi sur « la capacité des organisations de la société civile, des syndicats et des partis politiques à opérer librement, ainsi que sur les mesures visant à protéger le droit à la liberté de réunion pacifique », mentionne-t-on. Il s'agit en réalité d'une coordination entre le Cndh et le rapporteur spécial de l'ONU sur la question de droit de réunion pacifique et la liberté d'association. C'est-à-dire que la visite sera l'occasion d'entériner les éléments d'informations qui ont été récoltés en 2021 et qui seront mentionnés et approuvés dans un rapport définitif. Certains haineux qui travaillent pour le compte des officines occultes ont essayé de présenter la visite de rapporteur spécial des Nations unies comme une occasion pour traiter l'Algérie de tous les noms sur le plan des droits de l'homme, c'est-à-dire la présenter comme un pays incompatible avec les critères régissant ces droits et leurs standards ; mais ces sbires à la solde des officines étrangères sont déçus de voir que le représentant de l'ONU, Clement Nyaletsossi Voule a fait une déclaration qui n'est pas à la « hauteur » de leurs calculs et objectifs visant à salir l'image de l'Algérie. Dans ce sens, le rapporteur spécial des Nations unies a souligné que « l'Algérie a franchi d'importantes étapes en matière de garantie des libertés et dans la création d'un grand nombre d'associations. Néanmoins, la partie onusienne s'intéresse également aux défis et aux pratiques, ainsi qu'aux méthodes de coordination et aux programmes de développement des capacités dans le domaine de la garantie des libertés et la connaissance des notions élémentaires du droit par les parties concernées et les intervenants avant, durant et après les réunions et les manifestations pacifiques », a déclaré Clement Nyaletsossi Voule, rapporteur spécial des Nations unies sur le droit de réunion pacifique et la liberté d'association. La déception est grande pour ceux qui ont tablé sur un constat alarmant qui présentera l'Algérie comme un pays où l'état de guerre est le topo de la situation politique en général. Hélas, le représentant des Nations unies n'a pas fait recours à cette sémantique de guerre que cherchaient à faire manifester, les cerbères et les mercenaires qui agissent d'outre-mer contre leur propre pays afin de servir des puissances étrangères qui veulent que l'Algérie se disloque et se désagrège. Le président du Conseil national des droits de l'homme (Cndh), Abdelmadjid Zaalani, a précisé la nature de visite du rapporteur spécial des Nations unies en soulignant que « Le Cndh suit avec un grand intérêt toutes les questions individuelles ayant trait à la protection des libertés dans le cadre du respect du principe de l'indépendance de la justice que nous considérons comme un acquis et un garant du respect des droits et des libertés, de même qu'il suit les différentes questions qui lui sont transmises par le service de médiation sous forme de plaintes ou d'action de coordination et de concertation avec les différentes composantes de la société civile », a-t-il indiqué. La visite qui durera 10 jours, va permettre au rapporteur spécial des Nations unies, Clement Nyaletsossi Voule d'avoir une vraie vision sur la réalité en rapport avec la situation des droits de l'homme en général et droit de réunion pacifique et la liberté d'association. Quant à l'alarmisme et la démarche chaotique des sbires des officines étrangères occultes, la déception est leur seul sort.