Des journalistes et rédacteurs étrangers sont venus passer des stages de formation de courte durée à la rédaction de L'Expression. En sept ans d'existence seulement, le quotidien L'Expression a pu se frayer un chemin et s'imposer sur la scène médiatique nationale. Prise en tant qu'entité physique, cette période semble longue, mais dans la vie d'un quotidien elle reste infime. Malgré son jeune âge, L'Expression s'est fait une réputation de dimension internationale. Aujourd'hui, ses articles, ses analyses et ses commentaires sont repris non seulement par les agences de presse, mais aussi par la presse étrangère. A titre illustratif, plusieurs articles parus dans les colonnes de notre journal ont été repris et publiés dans Courrier International, hebdomadaire d'actualité internationale francophone, qui reste le baromètre de la presse internationale. Il est aujourd'hui, incontestablement, l'une des sources de plusieurs sites Internet, qui s'intéressent à l'actualité algérienne. Cette dimension internationale qu'a acquise le journal a poussé quelques journalistes et rédacteurs étrangers à venir passer des stages de formation de courte durée dans notre rédaction. On cite, à titre d'exemple, les deux journalistes venues de France, Marilyne Chaumont, Karima Peyronie, et Andréanne Williams du Canada. Malgré la courte durée du stage, ce passage a laissé de bonnes impressions chez les journalistes. Karima Peyronie, aujourd'hui rédactrice dans une revue parisienne et chargée de communication dans une boîte de production de renom en France, déclare à cette occasion: «J'ai adoré travailler avec l'équipe de L'Expression. Une expérience inoubliable dans un environnement très professionnel. Les gens sont aussi accueillants et généreux que rigoureux et exigeants. Un vrai travail d'équipe dans le respect de chacun. J'ai beaucoup appris lors de ce passage, beaucoup plus que si j'avais fait mon stage dans une rédaction en France. Merci encore et longue vie à L'Expression!». La formation reste la devise de L'Expression. Outre les étrangers, la direction du journal assure même des formations à ses journalistes. A l'intérieur de la rédaction d'abord, pour les correspondants ensuite, et enfin pour des journalistes envoyés pour suivre des cycles de formation à l'étranger. A ce titre, un bon nombre de rédacteurs de L'Expression ont sillonné le monde. Ils ont bénéficié de stages de formation en France, en Allemagne, en Italie, en Chine et aux Etats-Unis. Ils ont profité de l'expérience de grandes écoles du monde, tel le Centre de formation et de perfectionnement de journalistes de Paris, New York University, The Poynter Institute, en plus de quelques centres prestigieux en Europe. Sans distinction aucune, les journalistes de L'Expression ont tous été envoyés pour des cycles de formation, notamment en France et aux Etats-Unis. Dans le même sillage, le quotidien assure des formations à l'intérieur de la rédaction pour les jeunes fraîchement diplômés en journalisme. Grâce à un encadrement constitué de grands noms et d'anciens de la presse nationale, tels Ahmed Ben Alam, Noureddine Merdaci, Ahmed Fattani, Ben Youcef Ouadia et Zouhir Mebarki, ces jeunes ont pu se faire un nom et se positionner dans le rang des meilleures plumes de la presse nationale. Même les correspondants bénéficient de formations dispensées par quelques organisations à l'intérieur du pays. Grâce à cette politique, L'Expression avance doucement mais sûrement. Il entame son septième pas dans un paysage médiatique caractérisé par une concurrence farouche.