Il a été classé parmi les cinq premiers titres de la presse nationale. Une performance à souligner d'autant plus qu'il est l'un des derniers-nés des titres composant le paysage médiatique national. Alors qu'il n'a pas encore bouclé ses dix ans, L'Expres-sion confirme sa place dans le peloton de tête des journaux francophones en Algérie. Selon une étude d'audience des médias réalisée par l'agence de conseil et de communication «Média Sens», L'Expression figure parmi les cinq premiers titres les plus lus en Algérie. Il vient après El Watan, Liberté, Le Soir d'Algérie et le Quotidien d'Oran, des titres qui ont au moins 15 années d'existence. Une performance à souligner dans un secteur où la concurrence est rude, d'autant plus qu'il est l'un des derniers-nés de ces titres composant le paysage médiatique national. L'étude a été réalisée du 3 au 9 avril derniers, soit une durée d'une semaine, et a touché un échantillon de 7000 personnes réparties à travers 10 wilayas en zones rurale et urbaine. Un large échantillon de la société algérienne donc, qu'a su toucher L'Expression et cela, grâce à la tonalité de l'ensemble de ses articles, marquée par un regard décalé et la recherche d'objectivité. «Vous lirez à L'Expression ce que vous ne lirez nulle part ailleurs», tel est le credo de ce jeune quotidien qui s'est frayé un chemin en séduisant en un laps de temps relativement court. Indéniablement, ce succès est dû à son équipe jeune et dynamique encadrée par de vieux routiers de la presse dont le fondateur de ce quotidien, Ahmed Fattani. Après avoir marqué le champ médiatique quand il a créé le journal Liberté, il récidive au moment où l'on ne s'attendait pas avec un autre canard: L'Expression. Par son ouverture à tous les courants et à toutes les sensibilités, L'Expression en a fait son atout qui lui a valu les faveurs des lecteurs algériens. Ces derniers sont captés par la qualité et surtout la mesure et le sens de la responsabilité qui ne badinent pas avec l'éthique et la déontologie. Aussi, le bon classement de L'Expression est à mettre sur le compte d'un effort quotidien, et à la qualité du travail de son équipe rédactionnelle. En effet, bien que jeune, la rédaction est toujours orientée par un encadrement qui n'a rien à envier aux autres rédactions nationales. En effet, L'Expression recèle des cadres et des journalistes formés dans les plus grandes écoles françaises, voire américaines. C'est pour dire que ce journal est la synthèse du journalisme issu des écoles francophones et anglosaxonnes. Un capital rare, très rare dans les autres rédactions. Sur ce plan, il faut dire que le mérite revient à son directeur chez qui l'exigence professionnelle passe d'abord par une formation de qualité. Il convient de souligner également la ligne éditoriale du journal, dans laquelle «prendre du recul avant de tremper sa plume dans le feu de l'actualité» est la règle. Cela, sans oublier les enquêtes réalisées par des instituts de sondage qui eux aussi, ont placé L'Expression dans le peloton de tête de la presse quotidienne nationale (PQN). Citons à titre d'exemple cel les réalisées par les instituts Abassa, Immar et Sigma Algérie, qui ont désigné L'Expression comme le journal favori des élites et des décideurs du pays, ainsi que des chancelleries étrangères. Pour terminer, signalons que L'Expression est le seul journal d'Algérie à paraître dans la bibliothèque universitaire de New York à côté de 20.000 autres titres du monde. Il est également l'un des seuls journaux à figurer dans le manuel scolaire, plus précisément dans le livre de lecture des classes de seconde au lycée. Quoi de plus beau pour un journal que d'être lu chaque jour par des millions de jeunes Algériens.