Une performance à souligner d'autant plus qu'il est le dernier-né des titres composant le paysage médiatique national. D'exploit en exploit. Après Immar et Abbassa, c'est au tour de l'organisme de sondage tunisien Sigma de confirmer les prouesses du quotidien L'Expression. Après 7 années d'existence, L'Expression vient d'être classé en 4e position après El Watan, Liberté et Le Soir d'Algérie. C'est une performance à souligner, d'autant plus qu'il est le dernier-né de ces titres composant le paysage médiatique national, avec des tirages importants et une fidélisation de leur lectorat. Selon le sondage réalisé par le groupe de bureaux d'études spécialisé en recherche marketing et médias, L'Expression figure en 6e position si on inclut les journaux arabophones que sont El Khabar et El Chourouk sur un ensemble de 45 quotidiens nationaux. Ce sondage confirme que L'Expression est un journal sûr et porteur. L'Expression, faut-il le rappeler, a été déjà placé parmi les 5 plus grands titres de la presse quotidienne nationale d'expression française. Sigma, dont le siège est basé à Tunis, est leader dans la région de l'Afrique du Nord. Il dispose d'une filiale en Algérie et deux bureaux de liaison, un en Libye et un autre au Maroc. A ce propos, le dernier sondage réalisé pendant la période avril-mai 2007 par l'équipe de l'Institut Abbassa sur la presse quotidienne nationale (PQN), est très instructif quant à la place que L'Expression avait acquise sur la scène médiatique nationale. Les enquêteurs avaient indiqué que 62,2% du lectorat de L'Expression se compose d'élites, A et/ou A+. L'âge de son lectorat va de 16 ans et plus dont 62,9% d'hommes et 37,1% de femmes. Par activité professionnelle, 17,6% sont des cadres supérieurs, des professions libérales et des chefs d'entreprise. 18,3% sont des ingénieurs et techniciens supérieurs, avec aussi une large ouverture sur le lectorat jeune dont 16,7% sont des étudiants, lycéens et stagiaires. Mais on trouve aussi dans le lectorat de L'Expression, des enseignants du supérieur et du secondaire, des employés de bureau, des ouvriers du bâtiment, de l'industrie et des services, des femmes au foyer, des retraités, des militaires, des policiers, gendarmes, douaniers, sapeurs-pompiers, des artisans, des chômeurs, des invalides, des exploitants agricoles... En fait, le quotidien touche un large échantillon de la société algérienne Le sondage réalisé auparavant par l'Institut Immar avait relevé que, grâce à la tonalité d'ensemble des articles, marquée par un regard décalé et la recherche de l'objectivité, L'Expression a su séduire en un laps de temps relativement court, une tranche importante du lectorat exigeant, formé de cadres, de gestionnaires et de décideurs. Il apparaît comme un journal ouvert à tous les courants et à toutes les sensibilités, tout en restant une tribune pour l'expression des opinions contraires et un forum pour les débats d'actualité. Le sondage d'Immar avait été réalisé en 2004, et il a eu un écho favorable auprès de la presse nationale. Il fut réalisé par la société d'études et de conseil international Média Market Research, en abréviation Immar, société basée à Paris et qui a une antenne à Alger, depuis 2001, pour la réalisation d'enquêtes ad hoc et qu'elle multiplie dans les domaines de la grande consommation, les médias, le médical, l'automobile, l'industrie, les télécommunications. Le bon classement de L'Expression est à mettre sur le compte d'un effort de tous les jours, permettant au journal, en toute modestie, d'apporter un plus et sa touche à l'événement et à l'actualité. Et c'est donc tout naturellement que, par la grâce d'un sondage réalisé par Immar, établissement connu pour son sérieux et la fiabilité de ses travaux, que le journal a été désigné le journal favori des élites et des décideurs du pays ainsi que des chancelleries étrangères.