Des milliers d'Algériens ont placé Amar Ghoul en tête du peloton, pour ses engagements, son sérieux et sa détermination. Le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, a été élu «Homme de l'année» sur neuf personnalités à la suite d'un sondage effectué via Internet par notre confrère arabophone Enasr. Des milliers d'Algériens ont placé Amar Ghoul en tête du peloton, pour ses engagements, son sérieux et sa détermination. Par cette consécration, ce représentant du gouvernement a démontré que tout est possible quand on veut réussir. Une grande cérémonie a été organisée, jeudi dernier, en son honneur à la salle Al Mizania de Constantine, en présence des autorités locales, des représentants des partis politiques toutes formations confondues, des députés et sénateurs. La seconde personnalité à avoir été honorée par les lecteurs et les journalistes n'est autre que Nacer Mehal, directeur général d'Algérie presse service (APS). Ce dernier a mis en exergue «la culture de la reconnaissance», rendant un hommage particulier à l'ancien directeur du journal An-Nasr, le défunt Ahmed Belaïd, un journaliste et un responsable de la première heure qui, a-t-il reconnu, a consacré sa vie au monde de la presse, à son développement et surtout à la formation et au conseil de dizaines de journalistes. Me Farouk Ksentini, président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'homme (Cncppdh), a complété le podium. Avant cette cérémonie de récompense, le ministre a animé une conférence de presse. «Nous sommes satisfaits à un double titre, mais nous restons néanmoins exigeants», déclare Amar Ghoul. Amar Ghoul, Rédha Hamina, Farouk K'sentini, Nacer Mahle, Rachid Djanam, Mouloud Bar, Maâmar Djiour, El Kheir Bedjlel, Abdelhakim Serrar, Saïd Boudrara.