C'est ce qu'a été annoncé par le procureur général près la cour de Constantine, lors de la journée d'étude sur l'état civil. En abordant ce sujet, le magistrat, s'exprimant devant une assistance composée de juristes, a souligné que les rectifications des actes de naissance occupent le devant de la scène, avec un taux de 67,75% contre 9,09% de rectifications des actes de décès. Dans son intervention, le représentant du ministère public a indiqué que pour freiner ces défaillances, il va falloir entreprendre un ensemble de recommandations, lesquelles permettront de remettre en l'état les services de l'état civil. Le sujet a été longuement débattu relativement aux textes de contrôle et la législation en vigueur. La maîtrise de la situation relève des compétences des gestionnaires.