«La nouvelle économie algérienne» examinée en marge de l'assemblée du Réseau des Algériens diplômés en France (Réage). Les aspects de l'économie algérienne, ayant trait à la juridiction et aux règles qui régissent les investissements, la dynamique de la PME et les réalisations des entreprises françaises en Algérie, ont constitué les thèmes d'une rencontre qui s'est tenue hier à Paris, à l'initiative du Réseau des Algériens diplômés des grandes écoles et universités de France (Réage). Cette rencontre-débat sur la «Nouvelle économie algérienne», tenue en marge de l'assemblée générale du Réage, s'est distinguée par la participation de plusieurs conférenciers sur l'économie et le monde des affaires. Outre les interventions introductives du président du Réage, Fetah Ouzzani, de l'ambassadeur d'Algérie en France, Missoum Sbih, ainsi que celle du président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci), Brahim Bendjaber, les participants ont abordé le secteur des «PME/PMI: Export et internationalisation». Le président du Forum des chefs d'entreprise (FCE), Reda Hamiani, a consacré son intervention au «Nouveau cadre pour les investissements directs étrangers (IDE)», alors qu'un état des lieux sur les «Entreprises françaises en Algérie: bilan et perspectives» a été présenté par le chef de la mission économique française en Algérie, Marc Bouteiller. Le président de l'Association algérienne des fournisseurs de services Internet, Ali Kahlane, a présenté une communication sur le Secteur des TIC et perspectives de partenariat avec la «diaspora». Cette rencontre vise à informer les éventuels investisseurs sur le climat d'affaires en Algérie et sur les perspectives économiques offertes par le pays. Une approche en direction des diplômés algériens pour les amener à contribuer à l'économie nationale. Le Réage est un espace de réflexion, de prospective, de partage de connaissances, de savoir-faire et d'expériences, à même de jeter des passerelles pour un partenariat entre l'Europe et l'Algérie et entre l'Algérie et sa «diaspora».