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UN hommage aux illustres créateurs
AU COEUR DU CINEMA ALGERIEN, LA BOUTURE AMAZIGHE (*) DE SI EL HACHEMI ASSAD
Publié dans L'Expression le 24 - 04 - 2011

Un coup d'essai, une pièce maîtresse, un premier jalon essentiel, à même de faire découvrir tout un pan de notre patrimoine artistique et culturel.
Au-delà des différences qui composent la mosaïque des peuples et des cultures de la Méditerranée, au-delà des vicissitudes et des déchirures de l'Histoire et des temps présents, la richesse des récits en images et en sons témoigne de vies et de destins communs qui militent pour un avenir tourné vers plus de solidarité, plus de coopération et plus de concertation entre les différents acteurs de la communication. Consciente de ces enjeux, la cinématographie algérienne tente de redessiner ses contours dans le nouveau paysage culturel qui s'inscrit en filigrane.
Parallèlement à la mise en place de nouvelles structures de gestion, tel le Cnca, «Centre national du cinéma et de l'Audiovisuel», l'Ismas «Institut supérieur des métiers des arts et du spectacle», sont venus s'ajouter plusieurs manifestations prestigieuses qui ont fait la part belle au cinéma, telles «L'Année de l'Algérie en France», «Alger, capitale de la culture arabe», «Tlemcen, capitale de la culture islamique», entre autres. Mais, quoi qu'on en dise, la véritable impulsion offerte au cinéma national, est donnée par les festivals dédiés au cinéma, véritables vitrines de toute la production filmique: «Festival international du film arabe d'Oran» (Fifao), «Festival du court métrage de Taghit», «Journées cinématographiques d'Alger» (JCA), «Festival culturel national du film amazigh» (Fcnafa), qui vient de célébrer avec succès sa 11e édition à Azeffoun.
Heures de gloire
Au coeur du cinéma algérien, la bouture amazighe, première contribution de Si El Hachemi Assad, se propose de revisiter un secteur méconnu ou inconnu du grand public. L'ouvrage tente de faire le point sur l'expression de la culture amazighe à travers le cinéma. Cette dernière, segment de notre culture nationale, n'a pas toujours eu droit de cité. Ce n'est qu'en 2003, après des années de tribulations, que la langue amazighe est devenue, aux côtés de l'arabe, langue nationale de l'Algérie. Sa reconnaissance, son enseignement au sein des institutions éducatives et sa médiatisation constituent un acquis non négligeable, quand on sait qu'il n'y a pas si longtemps, arracher le droit élémentaire de tourner des films en tamazight était un défi. Les revendications démocratiques et culturelles du Printemps 1980, celles d'Octobre 1988 et ce qu'on a appelé les «Evénements de Kabylie» ou le «Printemps noir» de 2001, sont passés par là. La langue amazighe reprend progressivement sa place dans les esprits des citoyens qui admettent maintenant quasi unanimement qu'il n'y a pas de domaine d'usage qui lui soit interdit. Cependant, beaucoup de progrès restent à accomplir car le chemin est long et parsemé d'embûches. Au lieu de se lamenter au chevet d'une cinématographie nationale longtemps moribonde, au lieu de se perdre en conjectures sur les raisons de la désaffection du secteur audiovisuel, au lieu de cultiver regret et nostalgie sur les heures de gloire passées, certains cinéphiles téméraires ont préféré aller de l'avant, tracer des pistes et redonner à la culture cinéphilique nationale en général, et à la cinématographie d'expression amazighe en particulier, leurs lettres de noblesse.
Considérant que le 7e art, produit d'une création artistique spécifique, instrument de pédagogie culturelle et moyen d'éducation de la sensibilité et du goût dans le domaine artistique, pouvait être aussi un puissant vecteur d'information, de conscientisation et de communication, les promoteurs de l'idée de rencontres autour du cinéma amazigh, étaient loin de se douter que leur obstination allait être un jour récompensée.
Pour l'initiateur de la manifestation, le Haut Commissariat à l'amazighité, ce festival, parrainé par le ministère de la Culture, se proposait de réhabiliter la langue mais aussi la culture, les traditions et donc l'identité amazighe par le biais du 7e art. L'amazighité recouvre en fait les cultures dites berbères et les dialectes de la langue tamazigh qui compte plus de 20 millions de locuteurs. Cette langue dispose de son propre alphabet conservé par les Touareg: le tifinagh. A côté du kabyle, en Algérie, nous avons le targui (tamasheq, tamahaq, tamajaq), le chleuh, le chaoui, le chenoui, le mozabite, le tagargrent. Au Maroc, il y a le chleuh, le rifain (tarifit), le zayane, le ghomara. En Lybie, le nefoussa. En Mauritanie, le zenaga. En Tunisie, le chelha. En Egypte, le siwi. Comment, compte-tenu de cette diversité linguistique, définir le cinéma amazigh alors que la langue tamazighe est multiple et est souvent transcrite en caractères latins. Des films ont été réalisés dans les différentes variantes de la langue tamazighte ces dernières années, en Kabyle, (taqbaylit), en chaoui, en tamachaqt, en tachelhit ou en tarifit. Peut-on pour autant parler d'une cinématographie amazighe spécifique? La réponse n'est guère évidente, en effet, le cinéma amazigh est en devenir.
Pour Belkacem Hadjadj, «nous ne nous sommes même pas encore entendus sur la langue ou le langage à employer dans les dialogues d'un film».
Les tournages de films posent problème, tout comme la transcription du tamazight en alphabet arabe. Autre question: comment favoriser l'intégration, l'épanouissement et la transmission de la langue amazighe en dehors des champs idéologiques? Le premier opuscule de Si El Hachemi Assad, «La bouture amazighe...», tente, à tout le moins, d'apporter quelques éclairages conceptuels et méthodologiques sur la cinématographie algérienne d'expression amazighe.
Il est bien des manières de célébrer la culture amazighe. Un festival cinématographique en est une. Une opportunité d'accès à des oeuvres choisies pour leurs qualités artistiques et thématiques, pour leur originalité et pour leur ouverture d'esprit. Fenêtre sur le monde, le cinéma est l'univers par excellence à même de rassembler autour de lui l'humanité entière, sans distinction de classe, de langue, de religion ou de couleur de peau. Défendre l'amazighité revient à défendre la langue, mais aussi l'art et la culture en essayant d'ériger ces derniers au rang de vecteurs de développement humain durable. Le Festival du film amazigh s'inscrit précisément dans cette vision.
En l'espace de dix années, le festival du film amazigh est devenu le rendez-vous incontournable des cinéphiles, des amateurs et des professionnels du 7e art, aussi bien nationaux qu'étrangers. Né dans des conditions difficiles, dans le sillage de la reconnaissance de tamazight comme langue nationale en avril 2002, et officialisé en 2005, le festival intitulé Festival national annuel du film amazigh (Fcnafa) a su s'imposer grâce au ferme engagement de ses organisateurs, de ses animateurs bénévoles et du public fidèle, mais aussi grâce au soutien indéfectible des institutions de l'Etat, du ministère de la Culture et du parrainage du président de la République.
Excellent baromètre de la situation dans laquelle se trouve le cinéma national, dans un pays où la culture a du mal à se frayer un chemin, cette manifestation culturelle de référence autour du 7e art, rehaussée par la présence de nombreux professionnels du 7e Art et de l'audiovisuel maghrébin et de personnalités du monde de l'art et de la culture, a grandement contribué à l'émergence et au développement d'une expression cinématographique spécifique. L'amazighité n'étant l'apanage ni d'une région ni d'une contrée, le Festival a toujours eu pour principe d'ignorer les frontières géographiques et linguistiques. Mais après une longue et éprouvante itinérance, du Nord au Sud et de l'Est à l'Ouest, et plusieurs escales dans les wilayate (Alger 1999, Tizi Ouzou 2000, Oran 2002, Bobigny 2003, Annaba 2004, Ghardaïa 2005, Tlemcen 2007, Sétif 2008, Sidi Bel Abbès 2009 et Tizi Ouzou 2010), le Fcnafa a fini par prendre racine.
Une invitation au voyage identitaire, culturel et linguistique
Le premier bilan à faire est que trop longtemps ignorée, l'expression cinématographique amazighe a fini par émerger au grand jour grâce à un certain nombre de pionniers. Avec des films phares tels que La fin des Djinns, de Chérif Aggoune, en 1990, le premier s'exprimant en tamazight, suivi de La Colline oubliée de Abderrahmane Bouguermouh, La Montagne de Baya de Azzedine Meddour, Machaho de Belkacem Hadjadj ou encore de M'hand U M'hand de Rachid Benallal, Mimezrane de Ali Mouzaoui, Ayruwen de Brahim Tsaki, Arezki l'indigène de Djamel Bendeddouche, pour ne citer que ces quelques belles oeuvres, on peut dire que le cinéma d'expression amazighe s'améliore non seulement dans son esthétique, mais aussi dans sa narrativité et ses techniques.
Son entrée remarquable et remarquée sur la scène nationale et internationale, qui constitue un plus pour la cinématographie nationale, s'est faite grâce aux efforts et à la persévérance d'un petit groupe de volontaires. Aujourd'hui, le Fcnafa existe et se professionnalise d'année en année. Unique en son genre, ce rendez-vous annuel d'envergure internationale, consacré à la création filmique en tamazight, rassemble une sélection des meilleurs films de fiction, documentaires et reportages sur le thème de la culture amazighe.
Encourager la promotion, favoriser la diffusion des films, fiction, documentaires et reportages produits durant l'année, offrir un regard inédit sur la culture amazighe à travers les expositions et les vernissages et enfin assurer le développement socioculturel des publics. C'est tout le sens que le Fcnafa entend donner à son action ouverte à tout un chacun.
Parallèlement à la compétition et au panorama, missions essentielles de tout festival, sont venus s'ajouter des activités connexes telles que des tables rondes thématiques (cette année consacrée à L'Amazighité au cinéma et à La Critique cinématographique), des ateliers de sensibilisation en direction des enfants et les adolescents et enfin des cycles de formation pour les scénaristes (39 projets de scénarios ont été réceptionnés), pour les animateurs de ciné-clubs et à l'intention des réalisateurs en herbe qui souhaitent s'engager dans la voie de la création filmique. Les projections se déroulent dans différents lieux, aussi bien dans les salles équipées en 35 mm que dans des salles plus modestes et même en plein air, à travers les villages, grâce aux ciné-bus.
Parfaite harmonie
Des hommages sont enfin rendus aux illustres créateurs et des prix sont offerts aux lauréats des différents concours, afin d'encourager les auteurs et réalisateurs qui témoignent de talents certains et de renforcer les compétences dans le secteur culturel. Les organisateurs, qui félicitent tous les partenaires qui soutiennent à fond leur initiative (Onda, l'Entv, l'Apw de Tizi Ouzou, l'Apc d'Azeffoun, l'Oref...), regrettent cependant le peu d'engouement de la part des sponsors et de certaines collectivités territoriales. Le festival est aujourd'hui une référence. Les actions menées au cours de cette première décennie ont largement répondu aux objectifs initiaux.
La manifestation a permis d'identifier les problèmes inhérents à la promotion et à la diffusion de la cinématographie d'expression amazighe. L'équipe organisatrice se dit prête, si les moyens sont mis à sa disposition, de développer de nouvelles activités à même de répondre de manière structurelle aux besoins de développement et de professionnalisation de notre cinématographie nationale. Une revue de cinéma «Asaru-Cinéma», qui vient de publier son 8e numéro, risque de disparaître si des moyens conséquents ne sont pas mis à la disposition de ses rédacteurs bénévoles. Par ailleurs, le Fcnafa souhaite développer des activités de sensibilisation et de formation durant toute l'année et à travers tout le pays, si les ministères de la Culture, de l'Education et de la Jeunesse lui prêtent main forte.
Par leur ténacité, leur entêtement et leur persévérance, mais aussi par leur amour du cinéma et de la culture, les organisateurs ont réussi à mettre sur pied un édifice artistique qui jouit d'une notoriété certaine, même hors de nos frontières, et dont les caractéristiques essentielles entrent en parfaite harmonie avec la nouvelle dynamique impulsée à la cinématographie nationale.
Par sa pérennité et sa dimension nationale, le Festival du film amazigh est devenu aujourd'hui un symbole, celui d'une l'Algérie debout, d'une Algérie généreuse, ouverte sur le monde et réconciliée avec son identité. Qui aurait prédit un tel succès à un festival du film amazigh, né, durant les années 90, alors que notre pays traversait une de ses plus graves crises?
Azeffoun était à l'honneur cette année. Du 19 au 23 mars 2011, la ville a eu le redoutable privilège de souffler la 11e bougie.
37 films sur 60 proposés ont eu l'aval du comité de sélection: 11 furent nominés pour l'Olivier d'Or et 14 pour le Prix panorama amazigh, mais la qualité cette année n'était pas au rendez-vous. Aucun long métrage en lice et pas d'Olivier d'Or cette année. Une mention spéciale a été attribuée au film Sur les traces de Taous Amrouche de Sadia Barèche et un clap «Amazighité d'ailleurs» a permis la projection de 5 films du Maroc et du Canada.
Arezki Larbi Cherif donna le ton à ce festival avec son très beau film sur Tahar Djaout, projeté à l'intérieur du grand chapiteau. Mais, tout le public présent n'a pu accéder à la salle omnisports, retapée complètement pour la circonstance, malgré les mille sièges ajoutés aux centaines déjà en place. Après l'Irlande, le Liban, l'Iran, la Roumanie, le festival a accueilli cette année la Corse.
Pascal Genot a parlé de «l'image filmée des Corses» et Daniele Maoudj de son père d'origine kabyle. Nous souffrons aujourd'hui des mêmes préjugés, des mêmes haines, nous sommes clichés de la même façon et nous souffrons surtout de la même soif de notre langue, soif de notre culture, la vraie.
Djilali Beskri fut comme à son habitude le Cicérone des réalisateurs en herbe qui, en l'espace de cinq jours, ont réussi à peaufiner cinq courts métrages montrés lors de la cérémonie de clôture.
Etaient également présents à Azeffoun, Hadjira Oubachir, Mme Amhis, Lounis Aït Menguellet, Ben Mohammed, Kamal Ham-madi, les frères Hilmi, Ifticene, Haroune Hocine, Zayen, Belaïd et son groupe Tagrawla et beaucoup d'autres encore.
Les images projetées durant cette semaine, traduisent l'imaginaire créatif de nos réalisateurs et leur talent, et favorisent le dialogue culturel entre les hommes et les femmes dans leur temps et leur espace. La multiplicité et la diversité des films programmés, issus des coins les plus reculés du pays et même d'au-delà de nos frontières, ont fait de ce rendez-vous cinématographique une véritable vitrine culturelle de notre production artistique. Et cela n'est guère le fait du hasard.
Cette merveilleuse station balnéaire qui a vu naître El Hadj M'hamed El Anka, Mustapha Badie, Mohamed et Saïd Hilmi, Rouiched, Mohamed Iguerbouchene, Boudjemaâ El Ankis, Abdelkader Chercham, Boualem Chaker, Amine Kouider... les plus grands de nos artistes nationaux, a montré à quel point elle était accueillante et généreuse. «Azul, azul fellawen» et à l'année prochaine, Incha'allah!
(*) Au coeur du cinéma algérien, la bouture amazighe de Si El Hachemi Assad.
Ed Fcnafa. Alger 2011


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